samedi 23 mars 2013

Quand les sarkozistes deviennent subitement des « complotistes »


Le mot « complotiste » n’a eu autant de succès que sous le règne de Sarkozy. Il servait notamment à tourner en dérision des revendications légitimes de justiciables dont les procédures étaient bloquées par les tribunaux pour des raisons politiques. Une politique maffieuse qui servait de système de gouvernement sous Sarkozy et dont l’accusation de « complotiste » servait d’argument de neutralisation de toute velléité de protestation. Ainsi les victimes du Système étaient taxés de paranoïaques, avec une légèreté déconcertante. 

L’ironie du sort veut maintenant que ceux qui usaient de ce stratagème, avec délices, soient aujourd’hui ceux-là mêmes qu’on entend aboyer aux quatre vents « Complot ! Injustice ! » ou de « déshonneur à la justice », de calculs politiciens ou électoralistes, ou autres balivernes que rapporte le rédacteur en chef de Rue 89, dans son édito consacré à la question (Mise en examen de Sarkozy : tous contre le juge !). Tout ce tintamarre parce que leur Grand Manitou, Sarkozy, s’est fait épingler par la justice. Non pas sur des arguments fantaisistes, mais sur la base de solides investigations menées de concert par des journalistes et un juge d’instruction scrupuleux. Le « complotisme » n’est donc pas une maladie propre aux seuls exclus du Système ! Mais affecte aussi les « anticomplotistes » déchus.

Sarkozy est-il « blanc » comme neige ?

Difficile, voire impossible, de dire « oui ». Personnellement, je dis non!  Si encore l’affaire Bettencourt était la seule qu’on lui reprochait! Mais non, il y a tout un fatras de dossiers qui vient ennuager le triste ciel de Sarko. Ne citons en la matière que le cas de Kadhafi, reçu d’abord sur tapis rouge à l'Élysée, puis froidement assassiné, parce que son fils  Saif Al Islam a eu l’imprudence de déclarer sur les antennes que le Guide Libyen a financé la campagne présidentielle de Sarko. Et voilà déclenché le processus conduisant au meurtre sauvage d’un Homme d’Etat dans son propre pays, dans des circonstances assez nébuleuses...
Abrégeons et disons tout bonnement que Sarkozy est victime de sa roublardise et de sa trop grande croyance en ses facultés de « connaisseur du Système » (en tant qu’ancien ministre de l’intérieur et ancien chef de l’Etat, entre autres). Il pensait toujours pouvoir esquiver sa mise en examen, grâce à  son expérience et à ses talents de bluffeur. Mais il fut pris ! Et un proverbe malien dit : « Celui qui connaît le cheval et celui qui a été tué par le cheval, c’est une seule et même personne. », pour signifier que ce qu’on croit maîtriser, nous est souvent fatal.
La conclusion est que la bonne étoile de Sarko a définitivement pâli et sa descente aux enfers ne fait que commencer. C’est Arnaud Montebourg qui avait raison quand il disait de Sarko que son avenir n’est pas politique, mais judiciaire. C’est bien cela ! Sarko est parti pour une valse judiciaire qui lui enlèvera tout goût de vivre. Il expiera tous les crimes connus ou ignorés qu’il a commis ici-bas. Et, comme je l’avais moi-même écrit un jour de grande tristesse, « rira de lui quelque chose qui n’a pas de dents. » Ainsi soit-il ! Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit ! Amen ! Libre à celui qui veut verser sur lui une larme de commisération !
Adieu Sarkozy, tu ne seras plus jamais rien sur cette terre. Et j’espère que tu encaisseras le coup avec stoïcisme et ne te suicideras pas ! Si tu réussis ce pari, je te décorerais avec la Légion d’honneur

Mountaga Fané Kantéka

jeudi 21 mars 2013

Les deux zélateurs de Mabanckou, David Kpelly et Marthe Fare, poursuivis pour diffamation, injures publiques et autres infractions


Chers lecteurs, quand on n'a rien à se reprocher, on poursuit en justice les personnes qui s'amusent à nous vilipender dans les médias, notamment sur le net. C'est ce que j'ai fait avec les deux individus, David Kpelly et Marthe Fare, se réclamant ''enfants spirituels'' d' Alain Mabanckou, et s'étant adonnés à ce titre à une véritable entreprise de lynchage à mon endroit, avec la bénédiction de Mondoblog, appartenant à RFI (Radio France Internationale).

Diffamation, injures publiques, calomnies, menaces, chantage, etc., rien n'a été épargné à mon endroit. Et ils n'ont pris aucune précaution pour se prémunir contre d'éventuelles poursuites judiciaires, convaincus peut-être qu'ils sont ''intouchables'', à l'instar de celui qu'ils appellent leur ''père spirituel'' et qui m'a littéralement dépouillé du fruit de mon labeur d'exilé.

Et si Mabanckou estime de son côté que je le diffame en l'accusant de contrefaçons, il devrait en faire autant.  

Qu'il le fasse ou pas, je ne le laisserai pas tranquille tant que je n'obtiendrai pas justice. Et croyez-moi, je remuerai ciel et terre pour cela. Comme le dit la maxime: ''On ne mendie pas ses droits. On les obtient de hautes luttes.'' Et, à l'instar de l'artiste québécois Claude Robinson, j'obtiendrai mes droits.  Comme lui, je dis: '' To win or to die''.

Les zélateurs David Kpelly et Marthe Fare serviront d'exemples à ceux qui veulent s'ériger en avocats du diable. A bon entendeur...

Mountaga Fané Kantéka

jeudi 7 mars 2013

Mabanckou au pied du mur


Très affolé par ma soudaine reprise des hostilités à son endroit, pour des affaires de contrefaçons qui le poursuivent depuis 2007, et qu'il pensait définitivement enterrées, Mabanckou n'a trouvé rien de mieux à faire qu'à se rabattre sur des mercenaires pour se livrer à une véritable campagne d'acharnement et de diffamation sur ma personne.

C'est ainsi qu'un certain David Kpelly, se définissant comme ''fils spirituel de Mabanckou'' y est allé de sa bave et de sa balourdise, me gratifiant d'épithètes à la mesure de son vocabulaire ordurier (du genre Mabanckou dans Verre cassé) dans un article intitulé Les cauchemars africains d’Alain Mabanckou (http://davidkpelly.mondoblog.org/2013/03/05/les-cauchemars-africains-dalain-mabanckou/) , diffusé massivement et simultanément sur des sites ou blogs de l'Afrique centrale et assortis de commentaires aussi superficiels que tribalistes

Il est aidé en cela par une fille de moralité très douteuse, du nom de Marthe Fare (dont vous pouvez avoir un aperçu avec ce lien http://www.peuples-observateurs.org/article-togo-la-putain-rptiste-marthe-fare-encense-l-assassinat-de-sylvanus-114769208.html) qui, après s'être livrée sur moi à du racolage sur twitter, agit comme une amoureuse éconduite. Son obsession pour ma personne est telle qu'elle me consacra un article dans lequel mon livre, mes écrits journalistes et mes tweets sont étalés, dans un mélange digne du bazar mabanckouen (http://marthefare.com/2013/03/06/mountaga-fane-kanteka-leternel-plagie/).
 
Prête à tout pour gravir les échelons, cette fille voit là une occasion rêvée de se faire une excellente auto-promotion. Experte dans la diffamation, la désinformation et la calomnie, elle va jusqu'à m'attribuer les travers de Mabanckou, agissant sous le pseudonyme de Kunta, pour me discréditer sur Wikipédia (http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Alain_Mabanckou). 

Ce comportement de Mabanckou alias Kunta lui avait d'ailleurs valu un douzième chef d'accusation de diffamation, venant s'ajouter aux onze autres invoqués contre lui dans les deux contrefaçons qui lui sont reprochées.

A ce beau monde de l'Afrique centrale, vient s'ajouter un mystérieux personnage sévissant sur twitter avec l'identité de la défunte Marguerite Duras (@DurasMarguerite). Un personnage qui pourrait être Mabanckou lui-même, sinon quelqu'un de son réseau de contrefaçons, si je me fie aux échanges de messages privés que j'ai eus avec ce mystérieux internaute qui a subitement rompu le contact quand je lui ai posées deux questions fatales: ''Qui êtes vous? Pourquoi prenez-vous l'identité d'une défunte?''

Que c'est donc macabre tout ce cirque!

La conclusion de tout cela est que la panique règne dans le camp Mabanckou. Et sans le savoir, ils sont encore en train de me fournir des munitions pour les éradiquer à tout jamais. Qui vivra, verra.

Mountaga Fané Kantéka