jeudi 21 août 2008

LA CALIFORNIE: L'AUTRE PLAQUE-TOURNANTE DU RÉSEAU FRANCE-AFRICAIN DE LA CONTREFAÇON LITTÉRAIRE ET ARTISTIQUE

Après trois mois de mutisme, trois mois de tentative de décrocher pour vaquer à d'autres occupations, trois mois de régénération, je vous reviens avec du gros gibier confirmant bel et bien l’existence d’un réseau centralisé et international de la contrefaçon littéraire et artistique. J’ai découvert effectivement une 5e contrefaçon de mon ouvrage (‘’Odyssées noires’’) sous la signature d’un PRODUCTEUR CALIFORNIEN DE SÉRIE TÉLÉVISÉE, diffusée aux Etats-Unis, en France et au Canada. C’est ce qu’on appelle la MONDIALISATION DU VOL D’ŒUVRES.
L’analyse de cette 5e contrefaçon californienne laisse voir les mêmes procédés utilisés par les précédents contrefacteurs et un lien avec le groupe Seuil (à qui j’ai envoyé mon manuscrit en juin 2004). On comprend ainsi pourquoi Alain Mabanckou est établi en CALIFORNIE, sous la couverture de « professeur de littérature francophone ». Parce que pas plus qu’il n’est écrivain, Mabanckou n’est un professeur de littérature, sinon il ne serait pas allé aux Etats-Unis pour l’enseigner. Il l’aurait fait en France où il est particulièrement encensé. On comprend aussi un autre aspect du métier de nègre de Mabanckou, consistant à traduire les œuvres volés du français en anglais, et vice-versa. Il vient d’ailleurs de traduire l’ouvrage d’un Africain d’expression anglaise en français paru récemment chez L’Olivier, la maison d’Édition de son maître juif OLIVIER COHEN. On comprend aussi pourquoi on dit de son autre mentor MICHEL LE BRIS que « ses LECTURES DE JEUNESSE en ont fait un éditeur et un écrivain, passionné par la fiction des FLIBUSTIERS de la Sonore (État mexicain) qui plongent le lecteur dans la CALIFORNIE de la RUÉE VERS L’OR. Et MICHEL LE BRIS qui s’est lancé dans cette écriture épique avoue : « tous les détails sont vrais, mais j’ai joué avec les personnages » (une technique qu’on rencontre dans les contrefaçons du réseau dont la dernière en date). La CALIFORNIE est donc un autre repaire de cette association de malfaiteurs.
Il faut d’ailleurs savoir que Michel Le Bris a été condamné en 2002 par le Tribunal de Grande Instance de la Rochelle pour contrefaçon des travaux de l’universitaire rochelais Michaël Augeron relatifs à la Californie. Le livre incriminé, portant la signature de Le Bris, s’intitule ’’D’or, de rêve et de sang’’, retraçant l’histoire des pirates et de la Flibuste depuis le moyen-âge. Le Bris avait poussé la malhonnêteté jusqu’à lancer la fausse rumeur selon laquelle il aurait été absout par le Tribunal, rumeur très vite démentie par madame HÉLÈNE MAUREL-INDART sur son site www.leplagiat.net.
On comprend surtout pourquoi HERVÉ DE LA MARTINIÈRE (ayant acquis Le Seuil), après avoir surmonté les énormes difficultés financières qui risquaient de couler la maison, remerciait Olivier Cohen qui « a fait ce qu’on attendait de lui », en redressant la situation. À l’époque, j’avais pensé seulement aux contrefaçons relatives aux livres ’’Verre Cassé’’ et ’’Mémoires de porc-épic’’ qui ont engrangé beaucoup de profits. J’étais loin de me douter de l’autre volet relatif à la SCÉNARISATION des contrefaçons. Même s’il est vrai que ’’Verre Cassé’’ a donné lieu à une PIÈCE DE THÉÂTRE, joué en Europe et en Afrique.

CONTREFAÇONS MULTI-MÉDIAS

En faisant « ce qu’on attendait de lui », OLIVIER COHEN s’illustrait surtout comme un GRAND VOLEUR d’œuvre, jouissant d’une immunité sans faille, dont le seul génie consiste à perpétrer de multiples contrefaçons sur le même ouvrage à travers un réseau très étendu, et dans des domaines très variés : livres, bandes dessinées, pièce de théâtre, film long métrage, série télévisée, jeux vidéos, etc… C’est cela la CONTREFAÇON MULTI-MÉDIA, servant à nourrir l’imaginaire occidental avec la MYTHOLOGIE AFRICAINE DÉNATURÉE, comme on peut aisément le constater dans la série incriminée. Et l’on continue à claironner les insensés clichés d’une Afrique inféconde en littérature. Si l’on enlevait le vécu et la mémoire africains aux voleurs d’imaginaire de l’Occident, la littérature occidentale se réduirait à une peau de chagrin. Dans leurs vols massifs, ils te prennent ton vécu, tes souvenirs, ton histoire, tes ancêtres, ton héritage de pouvoirs mystiques, tes amours, tes personnages jusqu’à leur nom, comme on peut encore le constater avec la série incriminée du producteur californien.
Cette ESPÈCE DE VOLEURS de cervelle et de vécu opère selon le même procédé du COMMERCE TRIANGULAIRE qui a réduit des millions d’Africains en esclavage, trimballés entre l’Afrique, l’Europe et l’Amérique. Cet INSTINCT très développé d’ESCLAVAGISTE ATAVIQUE, que l’on rencontre chez COHEN et LE BRIS, trouve naturellement son répondant chez d’autres descendants d’esclavagistes américains et… africains. À la différence que ces Africains esclavagistes se complaisent encore à être des esclaves de leurs complices à peau blanche, moyennant quelque rayonnement médiatique…
Ce recours à la multiplication des contrefaçons sur le même ouvrage, en plus d’être un facteur de multiplication de profits, est aussi une astuce pour les contrefacteurs pour épuiser leur victime et la discréditer quand elle engage des poursuites multiples. Mais c’est paradoxalement un piège qui menace les contrefacteurs eux-mêmes pour plusieurs raisons. La première raison est que chaque nouvelle contrefaçon ne fait que confirmer les résultats de l’enquête effectuée démontrant une association de malfaiteurs se livrant à la contrefaçon en bande organisée. La deuxième raison concerne la procédure, puisque chaque nouvelle contrefaçon rallonge le délai de prescription. La troisième raison concerne les dommages et intérêts qui deviennent de plus en plus importants avec la multiplication des contrefaçons.
Ceci pour dire que OLIVIER COHEN, MICHEL LE BRIS et leur réseau auraient mieux fait de signer un contrat avec moi pour exploiter mes droits d’auteur, au lieu de s’adonner à ces actes de gangstérisme, pensant bloquer la machine judiciaire. Parce qu’au rythme où vont les découvertes, les PETITS JUGES CORROMPUS du TGI de Paris (NATHALIE DUTARTE et PATRICK GACHON) n’ont plus d’emprise sur cette affaire.


LA GRC ET LE FBI ALERTÉS

Le lundi 11 août dernier, j’ai avisé par courriel l’agent de la GRC (Gendarmerie Royale du Canada), chargé du dossier, de ma nouvelle découverte. Le mercredi 13 août, je reçus un accusé de réception de sa part par courriel. Le mardi 19 août, je lui demandai de transmettre ma plainte contre le producteur californien au FBI (Federal Bureau of Investigation). Ces autorités de police judiciaire n’ont pas d’autre choix que de procéder à une enquête sérieuse et crédible. Elles sont d’autant plus obligées que j’ai moi-même effectué des investigations sérieuses en la matière qui facilitent grandement leur tâche et dont le public a pris connaissance à travers mes publications. Une quelconque INERTIE de leur part mettrait sur la place publique une POLITIQUE INQUIÉTANTE VISANT À COUVRIR LE CRIME ORGANISÉ… Affaire à suivre…

Mountaga Fané Kantéka