dimanche 31 juillet 2022

QUAND LE BILAKORO MACRON DÉVERSE SA MAUVAISE HALEINE SUR LE MALI

 

Avant toute chose, je dois préciser que cet article doit être apprécié d’un point de vue d’initié. Là où le profane verra de l’injure, l’initié n’y verra qu’éclaircissement. Car le conflit qui oppose en ce moment le Mali et la France (et ses alliés) est un conflit aux contours magiques. D’où les sacrifices propitiatoires consentis par les érudits du pays de Soumahoro, Nami-Tiè, Nami-Djokala.

 

Le quiproquo autour de l’intervention du franc-maçon François Hollande en 2013, accueilli en héros au Mali par certains compatriotes, avait été éventé par mes soins. Mais, on n’y avait pas prêté une grande attention. On continue à croire qu’il y était venu en sauveur…

 

PRENDRE MA PLUME POUR CONJURER

 

Pour en venir à mon propos, le terme ’’bilakoro ’’ désigne en bamanakan et en manikakan l’incirconcis. Et, par extrapolation, un gamin, parce que dans ce pays c’est la circoncision qui consacre le passage du gamin à l’âge d’homme. Ainsi, un aîné peut traiter son cadet de bilakoro, même s’il a été circoncis.

 

Mais, ce que beaucoup de gens ignorent, dans les milieux initiés le bilakoro possède une puissance magique supérieure à celle du circoncis, pour la simple raison que le bilakoro a conservé son ’’wanzo’’, le prépuce qu’on coupe lors de la circoncision.

À ce titre, le bilakoro peut venir à bout d’un grand initié. Surtout si ce bilakoro est aussi un initié des sectes, comme Macron. C’est pourquoi je parle du « bilakoro Macron », homme issu des milieux occultes dont les membres ont la prétention d’être les « maîtres du monde ».

Si l’on ajoute à cela son homosexualité, non assumée publiquement (car l’homosexualité est aussi entourée de mysticisme), le président français Emmanuel Macron, malgré son immaturité apparente et sa mauvaise éducation, est quelqu’un à prendre au sérieux. Et à neutraliser le plus vite possible. Ceci explique pourquoi ma plume prend la peine de le prendre en cible pour le renvoyer dans les catacombes d’où il a émergé. Parce que, comme je l’écris dans un texte inédit, « Si vous n’avez pas peur de Dieu, ayez peur de ma plume ». Cela est une vérité qui dépasse l’entendement. Et Macron connaît bien la puissance de cette plume, puisqu’il lui arrive souvent de la plagier lors de ses discours. Est-ce lui-même ou celui qui rédige ses discours ? Peu importe !

 

Je dis donc au bilakoro Macron – Emmanuel Macron − qu’il ne s’avise pas de déverser son haleine de sectateur sur le Mali de Soumahoro – Nami-Tiè, Nami-Djokala. Je lui dis de ne pas parler des réalités ethniques d’un pays dont il ne connaît pas l’histoire. Au delà des légendes, le Mali ne va pas sans les Filaw (Peuls). En aucun cas, les Filaw ne sauraient être la cible d’un quelconque gouvernement malien.  Car aucun Malien ne peut prétendre qu’il n’y a pas de Fila dans sa généalogie… Je ne veux pas m’avancer davantage sur ce terrain pour ne pas avoir à divulguer de façon précoce les résultats de mes recherches historiques sur la véritable histoire du Mali, occultée par la légende de Son-Djata…

 

Les Filaw qui se laissent instrumentaliser par la France devraient se remettre en connexion avec leurs ancêtres…

 

Cet article est aussi une entreprise destinée à conjurer des prédictions que j’avais faites dans ’’Odyssées noires/Amours et mémoire d’Outre-monde’’. Et je demande encore aux griots du Manden, ainsi qu’à leurs émules: « Arrêtez de nourrir la légende de Son-Djata, si vous ne voulez pas voir les bilakorow reprendre possession de votre pays.»

 

MF kantéka

 

 

 

mardi 26 juillet 2022

CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ : ACCUSATION CONTRE DES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX

  

Ce n’est qu’un secret de polichinelle, la France et ses alliés sont impliqués jusqu’au cou dans le chaos qui accable le Mali en ce moment. Nous l’avions écrit depuis fort longtemps déjà. Et à plusieurs reprises. Maintenant, commencent à se délier les langues des sbires qui ont pris part à des commandos de meurtriers de populations civiles maliennes, sur ordre de la France.

Tantôt, on parle de commandos mis sur pied pour aller tuer des Dogons et faire porter le chapeau aux Peuls. Tantôt, c'est l'inverse. Dans le but de créer des guerres ethniques. Nous avons même connaissance de la tentative de l’armée canadienne d’obtenir des renseignements sur les conflits latents entre différents groupes ethniques du Mali, afin de les exploiter. Nous détenons les preuves de ce fait.

 

EN FINIR AVEC LA JUSTICE INTERNATIONALE À DEUX VITESSES

 

Pour en venir à notre propos, le chaos qui sévit au Sahel (Mali, Burkina Faso, Niger) et les massacres qui en ont résulté sont imputables aux dirigeants occidentaux qui les ont commandités. Et je fais l’impasse sur d’autres massacres, comme les génocides au Rwanda, au Congo et ailleurs en Afrique et dans le monde. Tous imputables aux politiciens capitalistes de l’Occident. Dans la plus totale impunité.

 

La CPI (COUR PÉNALE INTERNATIONALE) a été créée pour juger des auteurs de crimes contre l’humanité. Et non contre des dirigeants africains qui refusent de se plier aux diktats occidentaux. Et ce que nous venons de décrire plus haut est constitutif de CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ imputables aux dirigeants des pays de l’OTAN. Ils doivent donc en répondre devant la CPI, sinon cette institution n’a plus de raison d’être. Depuis la création de cet appareil répressif, les vrais responsables de crimes contre l’humanité sont majoritairement en Occident. Pourtant, on n’a encore jamais vu un dirigeant occidental répondre de ses crimes devant cette justice de deux poids, deux mesures. Hormis le Serbe Slobodan Milošević

– à supposer qu’on puisse le considérer comme un Occidental, au sens strict – qui a eu surtout le tort d’être impliqué dans des massacres de Blancs.

 

 L’IMPUNITÉ : UN PRIVILÈGE DE BLANCS

 

Il y a des gens qui vont sourire à la lecture de nos propos, nous taxant de naïf, convaincus que la loi faite par l’homme blanc, « la loi du plus fort »,  ne peut sévir contre lui-même.

Quelque part, ils n’ont pas tort quand on sait que même dans leurs propres pays, l’application de la loi est sujette à caution, non seulement entre citoyens de différentes classes sociales, mais aussi entre les Blancs et les personnes « racisées » (Noirs, Arabes, Asiatiques, etc.) Ce qu’on appelle le profilage racial qui est une composante du racisme systémique. Nous en savons quelque chose…

 

Cependant, malgré l’hypocrisie et la malhonnêteté qui entachent le discours démocratique occidental, il serait malheureux de laisser l’homme blanc de l’Occident dicter au monde sa loi, sans rien tenter contre lui. Sinon à quoi serviraient tous ces JURISTES AFRICAINS, si éloquents voire pédants, si prompts à parader sur les plateaux de télévision. Pourquoi ne pas s’armer de bravoure pour constituer un COLLECTIF D’AVOCATS ET DE JOURNALISTES D’ENQUETE pour intenter une POURSUITE JUDICIAIRE devant la CPI contre les dirigeants occidentaux ? Pour que l’histoire retienne, au moins, que des « intellectuels » africains n’ont pas fait que s’abriter derrière leurs diplômes occidentaux pour brimer leurs propres frères, qu’ils ont aussi essayé d’utiliser l’arme de l’Occident contre lui-même. Qui ne tente rien n’a rien. Mourir en combattant vaut largement mieux que mourir sans combattre.

 

Nous sommes ouvert aux suggestions. Si entretemps, ils ne nous ont pas assassiné. Et nous avons déjà identifié les potentiels assassins dans des articles antérieurs. Nous l’avons déjà écrit, nous ne laisserons personne nous assassiner impunément…

 

MF Kantéka