jeudi 29 septembre 2022

QUI VEUT ME PRENDRE EN OTAGE AU QUÉBEC ?

 

Les hommes de l’ombre du Québec s’en prennent derechef à moi.

 

Je prends encore l’opinion publique à témoin, pour signaler le harcèlement satanique dont je fais l’objet de la part d’hommes de secte du Québec dont des policiers.

 

Ce matin, en tentant de prendre contact avec une clinique pour un test PCR aux fins de voyage dans mon pays, on a gelé littéralement mon téléphone.

 

Après bien d’acrobaties, j’ai réussi à dégeler mon appareil.  Et j’ai appelé le 911 pour signaler le problème. J’ai signalé à l’opératrice téléphonique le différend qui m’oppose à la police de Montréal qui a déjà eu à saboter mes plateformes de communications. La police était même passée par Twitter pour émettre de fausses informations à propos de mon blog « Odyssées noires», dont le lien était jugé notamment  « dangereux ». Et j’ai lancé un ultimatum à Twitter d’enlever ces fausses informations sur mon blog, sans quoi j’allais me livrer à un déballage médiatique sur la police de Montréal. J’ai été écouté…

 

Et ce matin, l’opératrice me renvoie à la police. C’est tout de même incroyable !

 

Après, je reçois un courriel soi-disant de la clinique, me disant qu’ils ont cherché à me contacter en vain et de les appeler à un numéro. Je compose le numéro et tombe sur une agence financière. Je compris qu’on essaie de me corrompre encore…

 

Je réussis à discuter avec l’agente qui me dit que le dernier chiffre du numéro de téléphone de la clinique n’est pas 9 (comme mentionné dans le faux courriel), mais 8.

Finalement, j’arrive à communiquer avec la clinique et à obtenir mon rendez-vous.

 

J’avertis encore le gouvernement caquiste de François Légault. Même s’il est réélu le 3 octobre prochain, si pour une raison quelconque on entrave mon voyage dans mon pays, j’userai de tous les recours légaux possibles pour obtenir justice. Et je ne me priverai pas de publier sur la police de Montréal un document d’enquête, quitte à en répondre devant la justice. Parce que je défierai la police de Montréal de me poursuivre pour diffamation.

 

Et au monde entier, je dis ceci : si je n’arrive pas au Mali à la date prévue, pour une quelconque raison, contactez l’ambassade du Mali à Ottawa aux fins d’ouvrir une enquête sur mon éventuelle disparition.

 

Et, si dans une moindre mesure, on trafiquait les résultats de mon test clinique pour empêcher mon voyage, je les poursuivrais pour FAUX ET USAGE DE FAUX et aux autres chefs, preuves à l’appui.

 

Je vous le demande donc : dans quel monde vivons-nous si les représentants de la loi et de l’ordre sont les plus prompts au crime ? Et dans des pays soi-disant démocratiques qui veulent faire la leçon au reste du monde ?

 

MF Kantéka

mercredi 14 septembre 2022

Quand le Canada recourt à des représailles contre moi


Pour la troisième fois, Immigration Canada vient de me retourner le dossier de renouvellement de ma carte de résident permanent pour des motifs fallacieux et incohérents. S’il y avait un doute sur la question, cette dernière bavure vient me conforter dans l’idée qu’il s’agit d’une décision éminemment politique. Et de surcroit un acte manifestement illégal, visant à me punir pour mes prises de position contre la politique criminelle que le Canada mène dans mon pays, aux côtés d’autres pays de l’OTAN, consistant à y alimenter des troubles et à y organiser des massacres interethniques, comme j’ai eu déjà à le dénoncer dans des articles antérieurs.

 

On avait commencé d’abord par perturber ma connexion internet chaque fois que j’écrivais un article pour dénoncer leurs forfaits dans mon pays, comme j’ai eu à l’écrire. Puis, il y a eu une interférence avec le conflit qui m’oppose à la police de Montréal et pour lequel j’ai intenté un recours devant la Commission des droits de la personne qu’on essaie de parasiter…

 

Pour faire court, ce troisième et dernier renvoi de mon dossier est un faux pas que le Canada mettra du temps à regretter, puisque je l’avais monté avec une avocate du cabinet d’un député fédéral…

 

Ce qui est clair et que je veux qu’ils comprennent est que je n’ai besoin ni de la nationalité canadienne ni de la carte de résident permanent du Canada ni d’aucun autre pays d’ailleurs. Ma valeur intrinsèque me met au dessus de ce besoin…

 

Ce qui m’indispose le plus, c’est la filature permanente qu’on organise autour de moi, chaque fois que je mets les pieds dehors. J’ai pris le numéro d’immatriculation du dernier agent qui me filait vendredi dernier à côté du métro Sherbrooke et je l’ai montré à l’hôte que j’étais  allé voir. Pourquoi cette surveillance constante ? Ce que je peux dire aux autorités canadiennes est qu’elles perdent leur temps avec moi. L’intimidation pas plus que la persécution ne fonctionnent avec moi. Je sais pourquoi je suis dans ce monde et où je me dirige. Le moment venu, on saura tout sur l’étendue de vos pratiques criminelles et les complices nationaux que vous employez, même ici au Canada pour traduire les conversations téléphoniques des personnes que vous mettez sur écoute. Les juges canadiens eux-mêmes sont au courant de vos actes illégaux. Il y a longtemps de cela, c’est une juge québécoise qui m’en avait fait part, en précisant qu’elle-même est sur écoute et qu’on fait suivre les gens jusque dans les discothèques pour enregistrer leurs conversations avec des appareils sophistiqués.

 

S’il m’arrive quoi que ce soit, je l’ai déjà écrit, le premier ministre du Canada, Justin Trudeau et celui du Québec, François Legault, seront tenus personnellement responsables par mes représentants légaux…

 

MF Kantéka