vendredi 26 mars 2021

HARCÈLEMENT CRIMINEL

 
Texte publié sur ma page Facebook le jeudi 25 mars 2021:

«Après l'entrave à la justice et la complicité pour méfait public, voilà que la police de Montréal se livre à du harcèlement criminel sur ma personne. Je viens d'appeler le 911 pour signaler le problème. J'envisage aussi d'écrire un article sur le sujet avec tous les détails. »

Une heure après la publication de ces mots sur ma page, un policier m'a appelé avec un numéro inconnu à 0H37, pour me demander pourquoi je dis que c'est la police qui me harcèle. Quand j'essayai de lui parler, il me coupa la parole à plusieurs reprises. Je lui ai dit: « Si vous ne voulez pas m'écouter, pourquoi vous m'appelez? Ne m'appelez plus. On va régler la question devant les tribunaux. »

Il a raccroché.

Le lendemain, vendredi 26 mars, je l'ai fait savoir à la mairie de Montréal.

Et sur mon compte Twitter, j'ai adressé à certains professeurs de droit l'Université de Montréal, ce message: « HARCÈLEMENT CRIMINEL. D'OÙ PART LE COUP?»

J'attends encore leur réponse. Toujours est-il que je suis déterminé à poursuivre l'Université de Montréal pour les traitements discriminatoires et dégradants qu'on m'y a infligés.

MF Kantéka

jeudi 18 mars 2021

Autre cas flagrant de profilage racial, d'abus de pouvoir et d'entrave à la justice au niveau de la police de Montréal

Le jeudi 18 mars, j'ai été le témoin direct d'un cas de profilage racial, doublé de méfait et d'entrave à la justice au niveau de la police de Montréal. Plus que témoin direct, j'y suis impliqué.
Il s'agit d'un vieux monsieur Québécois blanc qui veut jouer à la « Karen ». C'est un monsieur avec qui j'avais l'habitude de jouer au ping pong. J'étais en quelque sorte son professeur de ping pong, comme je le suis avec des dizaines de personnes, à titre bénévole. Et ce monsieur, du nom de Michel R., est un très mauvais perdant, avec des instincts racistes irrépressibles. Il y a deux hivers, lors d'une pratique pour améliorer ses smashes, il se permit de me traiter de « malhonnête », pour avoir compté un point qu'il jugeait litigieux. Je lui dis: « On n'est pas en train de faire un match. C'est juste une pratique. Et pourquoi vais-je être d'ailleurs malhonnête avec toi, puisque je te bats 11 à 0, même avec ma main gauche?» Il prit la mouche et refusa de continuer la pratique. Je lui dis: « Tu ne joueras plus jamais avec moi. C'est assez, maintenant!»

Et depuis, le monsieur fait des pieds et des mains pour s'approcher de moi, dans l'espoir de rejouer avec moi. J'ai été obligé de changer de place pour jouer, en laissant le parc de ma rue pour aller jouer dans d'autres parcs. Malgré cela, ce Michel « Karen » se déplaçait en vélo pour aller dans les différents parcs où je me rendais. Mieux que cela, il s'incrustait en liant connaissance avec mes partenaires de jeu. J'ai dû le rappeler à l'ordre, à quelques reprises devant ses congénères, en lui disant de me faire de l'air.  Au Québec, on attribue d'ailleurs le qualificatif de « chien sale » à ceux qui s'adonnent à ce genre de comportement toxique.

Quand le bourreau veut inverser les rôles

Le mercredi 17 mars, alors que je jouais avec un Malgache, qui est aussi un voisin d'immeuble, Michel s'amusa encore à m'écoeurer avec des propos mesquins. Malgré mes mises en garde, il persista. La discussion s'envenima et il en vint aux propos racistes. D'abord, il me dit: « Tu es en territoire québécois.» Je lui répondis: « Crois-tu que le Québec, c'est pour les Blancs seulement?» Après, il me dit: « Je ne suis pas Charly, hein! Je ne ferme pas ma gueule. » Il faisait ainsi allusion à un Iranien qui, mauvais perdant et raciste comme lui, était allé jusqu'à me dire: « Tu n'es qu'un Nègre. Un singe!» Tout simplement parce que Michel et lui n'acceptent pas qu'un Noir soit meilleur qu'eux.
J'avais appelé un ami journaliste québécois à la retraite pour qu'il m'accompagne à la police pour porter plainte contre ce Charly. Malgré tout, on ne prit pas ma plainte, alléguant que je devais appeler la police sur place, au moment des faits…

Le lendemain, jeudi 18 mars, au réveil, sous le coup de la douleur provoquée par les actes de Michel, je l'appelai à 12h57 pour lui dire: « Michel, si tu n'arrêtes pas de me harceler et de m'écoeurer, je vais appeler la police.» Il raccrocha. Je n'insistai pas. J'ouvris l'ordinateur pour vaquer à mes occupations. Puis, je reçus un texto d'un autre élève, un Marocain, m'invitant à venir jouer avec lui. Je lui promis de venir le rejoindre dans l'heure qui suit. Je tins ma promesse et j'y trouvai un autre élève, un Algérien. Pendant qu'on jouait, je vis venir une voiture de police s'arrêter. Un jeune policier et une jeune policière en descendirent et vinrent vers moi en me disant: « Vous êtes monsieur Monta…» Je leur dis: « C'est moi Mountaga…» Ils me demandèrent de les suivre dans leur voiture, en disant: « Vous êtes en état d'arrestation. Vous avez le droit de garder le silence. Si vous coopérez, nous n'allons pas vous mettre les menottes.»

Incroyable, mais vrai: la police montréalaise persiste encore dans l'entrave à la justice pour des motifs racistes

Je les suivis dans leur voiture. Ils me demandèrent de vider mes poches, je m'exécutai. Ensuite, ils me demandèrent de mettre mes deux mains sur la voiture et d'écarter les deux jambes, pour procéder à une fouille. Et je m'exécutai encore. Ils me firent monter à l'arrière de leur voiture. Puis, le policier, un certain Wilson (matricule 7281), me dit pour la énième fois que je suis en état d'arrestation pour avoir « proféré des menaces de voies de fait ». Je le vis taper sur son ordinateur et constatai qu'ils étaient déjà en possession de toutes mes données personnelles. Comme si c'était un coup prémédité. Encore heureux que je n'ai rien à me reprocher. Pour faire court, je leur dis que Michel « Karen» cherche en réalité à inverser les rôles, vu que c'est lui qui me harcèle depuis deux ans. Je leur rappelai que Michel a attendu que je parle d'appeler la police pour prendre les devants. Et je leur demandai pourquoi si Michel se sentait vraiment menacé, il n'a pas appelé la police au moment même des faits. Wilson me répondit: « Il a appelé le premier. C'est pour ça.» Je lui dis que je n'ai pas appelé parce que je sais où ça mène: la banalisation de ma plainte. Wilson balaya mes remarques du revers de la main.


Je leur dis même de demander au Marocain qui a été témoin des faits, la veille. Ils refusèrent.  Je leur dis que je voudrais porter plainte contre Michel pour « harcèlement, propos racistes, dénonciation calomnieuse.» Comme à leur habitude, ils cherchèrent à banaliser mes propos, en faisant prévaloir des arguments techniques notamment pour ce qui est des « propos racistes » qui relèvent du civil, et la « dénonciation calomnieuse » qui n'existe pas dans le code criminel du Canada, mais dont l'équivalent est le « méfait public ». L'agent Wilson me dit que ce n'est pas applicable dans ce cas. Je lui demandai: « Êtes-vous juge?» Et là, il commença à s'énerver, à devenir grossier et à vouloir m'intimider. Je restai dans la voiture pendant un long moment, dans l'attente de leur superviseur, au point que je commençais à étouffer… Le superviseur, un jeune policier plus affable, lui aussi s'évertua à refuser de prendre ma plainte. Ils me font signer le formulaire avec promesse de comparaitre le 22 avril prochain. C'est à dire à une date où l'on annonce la 3e vague de covid 19, plus contagieuse et plus mortelle. Et dans ce formulaire, il est mentionné que je ne dois pas approcher le domicile de Michel « à moins de 200 mètres » et que dans le parc, je dois me tenir loin de lui, « à 50 mètres». Je leur dis d'abord que je ne connais même pas le domicile de Michel. Et je leur demandai: « Et si c'est Michel qui vient me trouver dans le parc. Le policier Wilson me dit: « S'il vient vous trouver au parc, vous devez quitter.» Incroyable! Je lui dis: « Donc, vous donnez à Michel l'occasion de me persécuter davantage en me faisant chasser de tous les endroits où il vient me trouver. En plus, ce parc est dans ma rue. Et c'est Michel qui quitte son périmètre pour venir dans le mien.» Le jeune policier poussa l'impertinence jusqu'à me dire: « J'aurais pu vous interdire l'accès au parc. Je ne l'ai pas fait parce que je sais que vous jouez souvent au ping pong ici.»
Il venait de se trahir, en reconnaissant que j'étais dans leur collimateur. Et il en rajouta en me disant: « Vous ne l'appelez plus et vous ne chercherez pas à le contacter sur Facebook.» Comme s'il faisait allusion à mes activités sur Facebook... J'ai eu déjà à écrire plusieurs articles sur le sujet dont le dernier ("Qui en a après moi au Québec?")  daté du 10 décembre 2020 (https://kanteka.blogspot.com/2020/). À un moment, je vis la policière, Morin (matricule 8105), en train de parler en aparté avec le Marocain.

Quand je finis avec eux, je récupérai mes affaires et appelai le 911 devant eux pour porter plainte contre Michel (pour méfait public) et contre le policier Wilson pour entrave à la justice. On essaya de me balader encore. Je rappelai encore et encore, et réussis finalement à obtenir un constat sur la situation. Entretemps, j'essayai de joindre le Marocain à deux reprises, et je constatai qu'on coupait la communication avec ce message automatique: « La communication n'a pu être établie….»
Pendant que je rédigeais cet article, en cherchant le lien de mon dernier article sur mon blog (à propos du harcèlement policier), je constatai que la police s'était chargé de cacher les liens. J'appelai encore le 911 pour signaler le problème. On me dit d'appeler un autre numéro le lendemain. En raccrochant, je vis qu'ils avaient rétabli mes liens. Après avoir réussi à publier l'article sur mon blog (kanteka.blogspot.com), je vis qu'ils avaient bloqué l'accès de ma page publique Facebook, pour m'empêcher d'y publier. C'est la preuve que la police se reproche quelque chose. C'est du grand banditisme (cybercriminalité) émanant de la police de Montréal. Ils n'en sont pas à leur premier coup à mon endroit.

Je vais donc poursuivre le policier Wilson sous tous les chefs d'accusations pertinents en la matière. Et éventuellement sa partenaire. Je les poursuivrai aussi au civil pour le risque qu'ils me font courir, en m'exposant au virus de la covid 19.

MF Kantéka

PS: Par souci de concision, je n'ai pas voulu parler ici d'un cas d'agression à domicile par une voisine Québécoise, en juin 2019, que la police montréalaise dans des circonstances aussi scandaleuses, a étouffé, poussant l'agresseuse à porter plainte contre moi, dans le but de neutraliser les deux plaintes. Je porterai plainte pour ce cas aussi.

mardi 2 mars 2021

APRÈS SARKOZY, À QUI LE TOUR?

 

La récente condamnation de l'ancien président français Nicolas Sarkozy me donne l'occasion de revenir en force contre ces hommes qui se croient tout permis dès lors qu'ils ont une petite parcelle de pouvoir. Je laisse de côté tous les méfaits de cet homme vis à vis de l'Afrique sur lesquels j'ai consacré un certain nombre d'articles dont celui intitulé "HALTE AU SARKONAZISME" (https://kanteka.blogspot.com/2011/09/ ).

Je vais me contenter de rappeler mes propos à l'encontre du réseau de contrefaçon littéraire dont Sarkozy s'était fait le garant en s'adonnant à du TRAFIC D'INFLUENCE, en mentionnant, en pleine période de campagne électorale, le nom d'un contrefacteur (contre qui j'avais engagé une poursuite judiciaire qui a été bloquée en France) en lui promettant un poste que ce monsieur a finalement réussi à obtenir. J'avais consacré à cette question une série d'articles entre 2007 et 2009 que vous pouvez consulter sur mon blog. Je leur promettais la main de la justice immanente. Et certains ont cru bon de me traiter de « fou» dans le cercle des snobinards de Paris. Une célèbre écrivaine m'avait même appelé pour m'en faire part. Comme on le dit, « le Temps est l'autre nom de Dieu ». En effet, c'est le Temps qui déterminera en fin de compte qui était dans le vrai et qui était dans le faux. Aujourd'hui, le Temps me fait un clin d'oeil en me disant que nul homme n'échappe à la justice immanente. Cette condamnation de Sarkozy n'est en réalité qu'un acte symbolique. Le vrai châtiment, qui l'attend, ne viendra peut-être pas des tribunaux, mais du sort. Car, je vous le jure, ce monsieur n'en a pas encore fini avec les déboires. Et ce n'est pas seulement sa seule personne qui est concernée, mais aussi sa descendance.

Les hommes se trompent souvent en croyant que leurs actes n'engagent que leur seule personne. Pour demeurer dans ce genre de croyance, il ne faut pas faire d'enfants. Sinon, attends-toi à ce que les conséquences de tes actes rejaillissent sur tes enfants. Ce qui est dit ici sur Sarkozy est valable pour tous ceux qui se sont acharnés sur moi pour la simple raison qu'ils estimaient que je n'avais pas le droit d'écrire telle ou telle chose ou de profiter des fruits de mon oeuvre intellectuelle. Peu importe qu'ils soient blancs ou noirs, hommes ou femmes, juifs ou musulmans, chrétiens ou animistes, francs-maçons ou pas, ils vont tous payer. Oui, ils vont tous payer pour ce qu'ils m'ont fait ou continuent de me faire. Que ce soit en France, au Québec, au Mali ou aux États-Unis. La main du sort les rattrapera tous et les frappera. C'est juré!

MF Kantéka