jeudi 30 avril 2020

La pandémie: un signe avant-coureur de la fin de l'emprise occidentale sur le monde


Il est courant d'entendre que les épidémies et les pandémies ont créé la chute de grands empires ou la fin de grandes civilisations. Force est de croire que c'est au tour de la civilisation occidentale, omnipotente depuis une poignée de siècles, de succomber à cette dure réalité. Sans vouloir jouer au prophète de malheur, les signes annonciateurs du déclin de l'étoile occidentale sont légion en cette période de pandémie de covid 19. L'arrogance occidentale en prend une rafale d'uppercuts dans la gueule.
Tout se passe comme si la Chine envoie un message clair et net à l'Occident: « Attention, nous avons les moyens d'éteindre votre civilisation, sans même avoir recours à l'arme nucléaire! Nous pouvons vous éradiquer rien qu'avec un virus!»

On peut longtemps disserter sur cette assertion, à l'aide de nombreux arguments dont la constitution génétique qui exposerait davantage certains groupes ethniques. Mais, cela nous éloignera de notre propos qui est de relever les faiblesses du système capitaliste occidental face à la pandémie. Un système qui en est rendu à solliciter les avis des personnes qu'il a écartées du fait de ses réflexes racistes et négateurs. Des personnes, immigrantes et racisées, dont on refuse de reconnaitre les compétences sont ainsi sollicitées, entre autres par le subterfuge des sondages visant à recueillir leur avis sur telle ou telle solution à apporter pour endiguer la pandémie. Les forçant à donner leur éclairage sur ce crucial problème social. C'est une autre forme d'exploitation qui se sert de l'argument philanthropique. Certes, personne ne refusera de livrer son expertise, qu'elle soit matérielle ou intellectuelle, pour empêcher des morts. Mais, l'honnêteté voudrait qu'on ait recours à leurs services en les engageant comme consultants, par exemple. Sinon, ça donnerait l'impression qu'en temps normal, ces personnes sont considérées comme de la merde, mais qu'en temps de crise, leurs connaissances sont les bienvenues. Ce constat vaut pour tous les champs de compétences, y compris ceux de journalistes, d'analyste ou de chroniqueurs…

Par ailleurs, les réponses occidentales par rapport à cette crise ont accentué la défiance des « tiers-mondistes» vis à vis de la puissance occidentale. Surtout les Africains qui ont du mal à  comprendre pourquoi l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé), sous la férule de l'industrie pharmaceutique, refuse de reconnaître les remèdes africains qui ont fait leurs preuves. Et aussi leur méfiance par rapport aux vaccins en provenance de pays occidentaux, compte tenu des antécédents en la matière. Pour finir, leur mépris vis à vis de certains médias occidentaux, à la solde du capital, qui n'ont plus d'autre argument que la « Théorie du complot» pour faire taire la grogne qui sourd contre les pratiques désuètes visant à asservir les peuples exploités et saignés à blanc…

En conclusion, parlant en mon nom personnel, je dis aux agences de sondage: « Ne m'appelez plus pour me demander mon avis. Si vous voulez ma collaboration, faites les choses dans les règles de l'art. Vos vénérés experts en communication et autres ne me sont pas supérieurs, ni au plan de la compétence ni au plan des diplômes. J'ai fait ma part en prônant le port du masque par tout le monde. Et en attirant l'attention sur les dangers du confinement prolongé. »

MF Kantéka


vendredi 24 avril 2020

MESSAGE À L'INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE OCCIDENTALE:


Depuis un certain temps, on entend que l'OMS (ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ) n'est pas d'accord avec l'usage de tel ou tel médicament pour guérir telle ou telle maladie.
C'est le lieu pour moi de dire un mot sur l'arrogance dont fait preuve cette institution occidentale. C'est l'occasion pour moi de leur rappeler que quand les Occidentaux sont venus en Afrique, quelques siècles plus tôt, pour y puiser de la main-d'oeuvre à travers le commerce d'esclaves, ils y ont trouvé une population saine, vigoureuse et florissante. Ils y ont trouvé des hommes bien nourris et bien soignés. Des hommes aux forts bras!
L'Afrique est un continent riche en ressources et aussi en insectes pourvoyeurs de maladies. Et les Africains ont toujours su faire face à ces maladies multiples, tant bien que mal...
Ceci pour dire aux institutions pilotées par l'Occident que l'Afrique n'a pas attendu leur venue pour découvrir les vertus thérapeutiques des plantes. Je dirais mieux, la médecine, sous sa forme actuelle, a commencé en Afrique, quand on sait que le vénéré Hippocrate n'a fait que puiser dans le patrimoine égyptien. Et l'Égypte n'est pas sortie ex nihilo. C'est le produit de l'Afrique profonde.
Donc, l'OMS et l'industrie pharmaceutique n'ont qu'à mettre de l'eau dans leur vin, afin qu'il ne tourne au venin pour ceux qui n'ont rien à faire de leurs recommandations à des fins mercantiles.
MF Kantéka

vendredi 17 avril 2020

PLAIDOYER POUR LA CRÉATION UN CYBERESPACE AFRICAIN


La CENSURE effectuée par les techniciens des réseaux sociaux et des blogs (tenus par des OCCIDENTAUX) pose la cruciale question pour nous les Africains de créer notre propre espace d'expression.
Tout se passe comme si le système occidental prône la liberté d'expression d'une main et laisse planer la terreur de l'autre main. En recourant à des bas coups, consistant à emmerder les gens qui se prononcent sur des sujets d'actualité. Comme s'ils s'imaginent qu'ils ont le #monopole de la lucidité et de l'intelligence.
Quand leur subterfuge, consistant à discréditer les gens en les taxant d'adeptes de «Théorie du complot», ne marche pas, ils se rabattent sur la #censure, par des moyens techniques. Quand ils ne censurent pas ton article sur ton blog (en voilant des parties par des bandeaux, comme le fait#Google), ils essaient de cacher ta page #Facebook, en supprimant le lien, ou en manipulant les #algorithmes.
Il serait donc temps que les génies africains de l'informatique lancent un cyberespace pour nous affranchir de la #DICTATURE OCCIDENTALE.

MF KANTÉKA

LE FASCISME AU NIVEAU DE L'INFORMATION



Les médias sociaux sont venus mettre en échec le pouvoir exorbitant dont disposaient les médias traditionnels qui manipulaient l'information, selon des intérêts précis.
En totale perte de vitesse, ces médias traditionnels se rabattent sur des subterfuges pour essayer de regagner une crédibilité à jamais perdue. Pour cela, ils ont entre autres recours à ce qu'ils appellent des « médias de vérification», animés par des gens qui n'ont pas la formation de ceux qu'ils veulent rappeler à l'ordre.

Pour faire court, je dis que je n'ai de leçon à recevoir d'un quelconque média dit de « vérification». Je suis un journaliste d'investigation, un chercheur et un juriste, entre autres. Je sais pertinemment les règles qui régissent la liberté d'expression, bien mieux que ceux qui prétendent me dicter la ligne à suivre.
Et je ne veux plus jamais recevoir ces messages merdiques, me disant qu'un média de vérification a estimé que l'information que j'ai partagée n'est pas fondée. Qu'ils se donnent d'abord la peine de lire attentivement le contenu du texte incriminé, avant de sauter aux conclusions à la fois hâtives et merdiques. D'où cette clarification:

JE N'EN AI RIEN À FOUTRE DE VOS VÉRIFICATIONS. J'AI MES PROPRES MOYENS DE VÉRIFICATION.
IL N'Y A PAS DE DOUTE SUR LE FAIT QUE LE VIRUS DU COVID 19 SOIT SORTI D'UN LABORATOIRE. FOUTEZ-MOI DONC LA PAIX! VOUS N'AVEZ PAS LE MONOPOLE DE L'INFORMATION.





MF Kantéka

QUAND LES ANIMAUX DEVIENNENT DES BOUCS ÉMISSAIRES



La réflexion de Thomas Hobbes selon laquelle « l'homme est un loup pour l'homme » est en soi symptomatique du réflexe de l'homme à attribuer ses tares et ses péchés aux animaux. Parce que l'homme est bien plus dangereux que le loup et tous les animaux réunis. Au lieu de dire que l'homme est un loup pour l'homme, Hobbes aurait mieux fait de dire que l'enfer de l'homme se trouve dans les mains de l'homme. Une réalité qu'on trouve dans cette pensée bamana: « Tiè magni tiè bolo» (Un homme n'est pas bien dans les mains d'un homme).

Toute cette entrée en matière pour fustiger les théories consistant à attribuer aux animaux les maladies créées par les hommes pour éradiquer d'autres hommes. Nous ne parlerons pas ici de la variole jetée contre les  Aztèques pour les balayer de la surface de la terre et aussi contre les Amérindiens pour s'accaparer leurs terres. Et bien d'autres saloperies du genre! Nous nous contenterons de signaler deux pandémies dont on a voulu faire porter le triste chapeau aux animaux. C'est d'abord le cas du SIDA dont on a voulu infliger la paternité aux grands singes du Congo. Par la suite, on a découvert que ce lugubre fléau a été fabriqué par des Blancs dans des laboratoires du Congo, au temps colonial, dans le but évident de débarrasser la terre de la présence nègre et de faire de l'Afrique un nouvel Eldorado blanc, comme on l'a fait avec l'Amérique.
Et plus récemment, c'est le cas de ce satané coronavirus (Covid 19) avec lequel on a voulu incriminer le pangolin ou la chauve souris. Et, maintenant, les langues scientifiques commencent à se délier et à incriminer le laboratoire chinois de Wuhan…

Avec tout cela, des fils de …. se permettent de parler de « théorie du complot» quand on dénonce ces manoeuvres de fils de…. Que je les reprenne encore à accabler les animaux et à parler de théorie de je ne sais quoi! Satanées créatures à deux pattes! Allez donc au diable!

MF Kantéka

POURQUOI GOOGLE CENSURE MES ARTICLES SUR MON BLOG?


Comme vous l'avez remarqué, des parties de certains de mes articles se trouvent voilées, avec le recours à une sorte de bandeau. C'est une pratique illégale dont se permet Google ou certains de ses employés qui outrepassent leur pouvoir. Je pourrais poursuivre en justice Google pour cela. La liberté d'expression est pour tout le monde et obéit à des règles bien définies. On ne doit pas la brimer pour servir les intérêts  de forces obscures.

CECI EST UN AVERTISSEMENT À L'ENDROIT DE GOOGLE!

MF KANTÉKA


jeudi 9 avril 2020

LUTTE CONTRE LE CORONAVIRUS: LE CONFINEMENT PROLONGÉ EST UN REMÈDE AUSSI DANGEREUX QUE LE MAL REDOUTÉ


L'annonce faite par le Premier Ministre canadien Justin Trudeau de prolonger les mesures de confinement d'un an ou un an et demi au Canada a fait sursauter plus d'une personne. Et la frayeur, causée par cette sentence, est bien compréhensible. Le confinement n'est supportable que quand il ne se prolonge pas dans le temps. Quand il se prolonge, il occasionne des dommages aussi irréparables que le mal qu'il est supposé prévenir. Et parmi ces dommages irréparables, on peut citer la multiplication des dépressions nerveuses, des violences à domicile pouvant déboucher sur des meurtres, des suicides et d'autres formes de maladie propres à la sédentarité et à l'enfermement.
Et ces problèmes ne concernent que les pays où le confinement est possible sur une période relativement longue, à cause de leur organisation. Et que dire des pays du Tiers-monde où le confinement est synonyme d'extinction? Le mot n'est pas trop fort! Le confinement pour des milliers de ménages, qui vivent de ce qu'ils gagnent au jour le jour, s'apparente purement et simplement à crever de faim et de maladies, ne pouvant compter sur un État organisé capable de leur venir en aide.
Ceci pour dire que le recours aux mesures de confinement trop prolongé ne n'est pas un remède, mais de la fuite en avant. On remarquera à cet effet que même à Wuhan, qui a été le premier épicentre déclaré de cette épidémie, devenue pandémique, on a mis fin au confinement au bout de deux mois environ.
Au lieu de maintenir indéfiniment les gens dans la prison du confinement, pourquoi ne pas simplement donner des masques à tout le monde afin de freiner la transmission du virus, en attendant de trouver un vaccin fiable? Et si le but caché est de « sauver la planète », en réduisant la pollution atmosphérique, pourquoi ne pas prendre des mesures énergiques pour limiter la production du gaz à effet de serre?

MF Kantéka

dimanche 5 avril 2020

COVID-19: Pourquoi avoir caché que cette maladie a frappé l'Afrique avant qu'on ne la signale en Chine?



Officiellement « l’éclosion du COVID-19 a été signalée le 31 décembre 2019 à Wuhan, en Chine ». Or, nous avons appris qu'une maladie semblable sévissait déjà au Mali à la mi-décembre 2019, que certains avaient appelée « palu kourani» ou nouveau paludisme, et qui avait causé la mort de personnes âgées.

Ce constat soulève beaucoup de questions dont la première a trait à la manipulation dont nous faisons l'objet au niveau des informations officielles. Il est devenu difficile par les temps qui courent de s'interroger sans être taxé d'adepte de « Théorie du complot», une accusation qui vise à fermer la bouche de ceux qui n'optent pas pour les thèses véhiculées par les médias occidentaux.

Si réellement le covid 19 était déjà présent en Afrique (au Mali, notamment) avant qu'on le déclare officiellement en Chine, cela veut dire qu'il faut s'interroger sur la provenance de cette maladie. Une question qui a trait aux causes réelles ou aux raisons pour lesquelles cette maladie a fait soudainement irruption sur la planète, comme d'autres avant elle, notamment le sida et l'ébola.

Une autre question a trait au traitement auquel les Maliens, rescapés de cette maladie dès décembre 2019, ont eu recours pour s'en sortir. C'est une question essentielle dont la réponse mettra fin aux spéculations de l'industrie pharmaceutique sur la recherche de nouveaux médicaments ou d'éventuels vaccins. Nous avons déjà un début de réponse avec le recours à la chloroquine (médicament antipaludéen), décrété par les USA, pour traiter cette maladie.

MF Kantéka