mardi 31 mai 2022

L’ESCLAVAGISME DU SYSTÈME JUDICIAIRE CANADIEN

 

Ce qu’on appelle « racisme systémique » est un mécanisme dans lequel la police et le système judiciaire jouent un grand rôle, en créant un système de privilèges au sein des citoyens ou résidents, favorisés ou défavorisés en fonction de leur origine ethnique.

 

Le PMRG : UN SYSTÈME ESCLAVAGISTE

 

L’un des principes les plus élémentaires du droit est la formule latine ACTORI INCOMBIT PROBATIO. Ce qui veut dire que la charge de la preuve incombe au demandeur. Autrement dit, quand on accuse quelqu’un, on doit pouvoir le prouver. Sans preuve, il n’y a pas en principe de cas à juger. On doit abandonner les poursuites. Tel ne semble pas être le cas dans le système canadien où l’on se livre à une sorte de prestidigitation, en recourant à ce qu’ils appellent le PMRG (Programme de mesures de rechange général), qui consiste à échanger la poursuite judiciaire contre des dons ou des travaux forcés, déguisés en bénévolat. Ce n’est ni plus ni moins que de la supercherie. C’est une mesure esclavagiste qui s’accompagne de racisme, quand l’accusateur est un blanc malveillant que le système veut protéger. Et il semblerait qu’il y a une sorte de pacte entre le parquet et certains avocats pour conduire droit leurs clients dans le traquenard du PMRG. C’est inadmissible! Surtout quand on n’est pas qu’un simple accusé, mais qu’on est aussi un accusateur dont on veut noyer la plainte dans les torrents du racisme systémique.

 

Je me suis séparé de mon premier avocat pour cela, et j’ai intenté une procédure disciplinaire contre lui qu’on a étouffée dans des circonstances très déplorables que je développe dans mon livre explosif sur le sujet.

 

ON SE CROIRAIT DANS L'ALABAMA DES TEMPS LUGUBRES

 

Cet article m’a été inspiré aujourd’hui même à la cour municipale de Montréal où j’ai été pour la deuxième fois en l’espace de trois semaines, pour cette affaire abracadabrante qui m’oppose à un vieux Blanc véreux et farfelu (méprisé par ses propres frères), soutenu par la police de Montréal qui s’en sert pour essayer de m’abattre, à cause de mes prises de position idéologiques. Une police peut-être commanditée (aussi) par des professeurs de L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL…

 

On me prive de mon sommeil d’insomniaque, de mon temps et de mon énergie pour une accusation farfelue, sans aucun fondement. Pire que cela, mon accusateur blanc, que la POLICE TRIBALE de Montréal tente de présenter comme une victime du «méchant Nègre», n’arrête pas de me harceler, en venant rôder autour de ma demeure ou en se mettant toujours sur mon chemin, malgré les mesures de distanciation décrétées par le problématique policier, homosexuel comme lui. Pas plus tard qu’hier, en tournant sur la rue qui me mène chez moi, je le vis planté devant moi, cherchant à établir un contact avec moi. J’ai été obligé de changer de trottoir, en ravalant ma folle rage contre ce harcèlement qui se fait dans l’impunité la plus totale dans une ville raciste jusqu’à la moelle des os.

 

Je viens de porter plainte par courriel auprès du DPCP (Directeur des poursuites criminelles et pénales) pour DÉNI DE JUSTICE. J’envisage une poursuite au civil contre cet organe.

 

UN JEUNE AFRICAIN SAUVÉ PEUT-ÊTRE PAR LA PROVIDENCE

 

Pour en revenir au fait qui m’a inspiré, il s’agit d’un jeune Rwandais que j’ai rencontré à la cour municipale de Montréal. Il était là seul avec sa peine, sans avocat. Le ciel l’a mis sur ma route. Et il m’a expliqué le litige qui l’oppose à un véreux concessionnaire d’autos, pour un problème de garantie que ce dernier n’a pas respectée. Pour avoir protesté, on lui a mis les flics le cul. On l’accuse de trouble à l’ordre public. On l’a molesté et privé de sa voiture qui est son gagne-pain. J’ai réussi à le convaincre de se constituer un avocat, sous peine de se faire engloutir par le système. Sitôt constitué sur place, l’avocat s’empressa de l’allécher avec le PMRG. Je dis à l’avocat : « Non, il n’accepte pas cela. S’ils ont des preuves contre lui, qu’ils les apportent, sinon qu’ils abandonnent les charges contre lui.» Puis, je m’adressai au jeune homme : « N’accepte jamais cela, car tu n’es pas leur esclave.» Dans tous les cas, lui-même n’aurait jamais accepté, vu le ressentiment qu’il nourrit contre ses oppresseurs.

Le jeune homme est tellement démoli dans la tête qu’il a songé au pire. Je lui ai promis d’écrire un article sur son cas. Un article qui, j’en suis sûr,  parviendra à Paul Kagamé, le président de son pays. Je lui ai demandé de me faire parvenir les documents pour qu’on envisage une action au civil contre la police et le concessionnaire.

 

MF Kantéka

 

samedi 28 mai 2022

J’ACCUSE LA POLICE DE MONTREAL…

 

 

S’il m'arrive quoi que ce soit de louche, je demande qu’on diligente une enquête sur la police de Montréal.

 

Depuis le mois de mars 2021, je suis impliqué dans une affaire abracadabrante, impliquant également trois policiers de Montréal, suite à la dénonciation calomnieuse d’un agresseur et harceleur homosexuel qui, pour prendre les devants, a jugé bon d’appeler la police, jouant sur la blancheur de sa peau et le racisme systémique qui prévaut dans cette ville. Et c’est un policier homosexuel qui a procédé à mon arrestation arbitraire, se livrant à une fouille corporelle sur moi, sachant très bien que je n’avais rien sur moi, puisqu'il était venu me trouver en train de jouer au ping pong, mes affaires étant posées sur le banc à côté. Et dans le rapport de police, le policier s'est déchargé sur sa collègue, lui attribuant mon arrestation, comme s'il avait quelque chose à se reprocher.

 

J’ai deux actions contre les policiers en cause: une devant la commission des droits de la personne et une devant la déontologie policière. A l’heure où je rédige cet article, je viens de chez l'informaticien, parce que la police de Montréal tente de paralyser tous mes ordinateurs. Il suffit que je me connecte sur internet avec un appareil pour qu’on le neutralise, en soustrayant le curseur de mon contrôle. En l’espace d une semaine, ce sont trois ordinateurs qui en ont fait les frais. Celui que j utilise en ce moment pour écrire cet article est un très vieil ordinateur, avec un clavier anglais, qui n’a probablement jamais été connecté sur internet et qui ne le sera jamais, puisque c’est ma carte cachée, pour faire comprendre à la police de Montréal qu’elle ne peut pas me museler.

 

Je rappelle que bien avant cette affaire, la police de Montréal avait tenté de paralyser mon compte Facebook, comme je le rappelle dans l'article dénonçant leur arrestation arbitraire. Et depuis, ils s'attaquent à tous mes comptes et aussi a mon téléphone.

 

Au delà de cette affaire, la police de Montréal sait que je la soupçonne d’autres choses plus graves, que je pourrais écrire d’un moment à l’autre, puisqu’elle écoute mes conversations téléphoniques.

 

Cet article n'a d’autre but que de chercher à protéger ma vie. Si je suis victime d’une agression ou d'un attentat, c’est auprès de la police de Montréal qu’il faut chercher.

Qu’on n'aille surtout pas parler de gang de rue, car je ne côtoie ni de près ni de loin ce milieu. Mon milieu est celui du sport et de l’écriture.

 

PS: J’ai dû faire des acrobaties pour écrire ce texte avec un clavier anglais, dans un premier temps. Je l’ai après corrigé entièrement.

 

MF Kantéka