jeudi 2 septembre 2021

QUAND LA POLICE DE MONTRÉAL VERSE DANS L’ILLÉGALITÉ

 


 

J’avais attiré l’attention du monde sur l’arrestation arbitraire dont j’avais fait l’objet le 18 mars dernier.

 

J’ai appris par la suite que ce sont des policiers de Montréal qui se sont rendus dans l’immeuble du plaignant et l’ont incité à porter plainte contre moi. Et cela transparait dans le rapport de police dont j’ai obtenu la copie auprès de mon avocat. Un rapport de police de surcroit truffé d’inexactitudes, cherchant notamment à couvrir le policier qui a procédé à mon arrestation et qui a une certaine similitude avec le plaignant…

 

Par ailleurs, les témoignages recueillis par la police après mon arrestation et séquestration arbitraire contredisent l’accusation portée contre moi. Sans compter que j’avais aussi insisté pour porter plainte contre le monsieur le même jour pour dénonciation calomnieuse dont l’équivalent est le méfait public en droit canadien.

Malgré l’absence de preuve contre moi, malgré la plainte que j’ai déposée contre ce monsieur qui est aussi un agresseur sexuel, en plus d’être un harceleur qui se prévaut de sa blancheur de peau contre moi, au lieu d’abandonner les charges contre moi, le système québécois veut faire de moi un coupable repentant en me proposant des mesures de substitution. Et en faisant de mon agresseur et harceleur une victime bénéficiaire du CAVAC (Centre d’aide aux victimes d’actes criminels). C’est un scandale de tous les diables quand on sait que de vraies victimes, comme l’Africaine violée par un député canadien dont j’ai évoqué le cas dans plusieurs articles, sont ignorées par le système.

 

C’est cela qu’on appelle, entre autres cas de figure, le RACISME SYSTÉMIQUE. J’ai porté plainte contre les policiers au niveau de la COMMISSION DES DROITS DE LA PERSONNE. J’ai voulu aussi attaquer les policiers et le parquet du Québec au civil, mais je me suis heurté au déni de justice, sous prétexte de la cherté de la procédure…

 

Pour l’instant, j’ai ma plume pour alerter le monde entier sur ce qui se passe au Canada et au Québec, en particulier. J’ai écrit un imposant roman sur le sujet. Et ça fera beaucoup parler…

Je reviendrai là-dessus en temps utile.

 

MF Kantéka