vendredi 26 février 2010

UN OTAGE FRANÇAIS ECHANGE CONTRE QUATRE TERRORISTES : UN SCANDALE QUI ENTERRERA DEFINITIVEMENT LE PRESIDENT MALIEN ATT

Encore une fois les faits viennent confirmer ce que, depuis des lustres, nous n’avons jamais cessé de clamer aux quatre vents. D’abord, la DESESPERANTE INCOMPETENCE du chef d’Etat malien, monsieur AMADOU TOUMANI TOURE alias ATT (venu au pouvoir ex nihilo, à la faveur d’une conjonction de malheurs successifs ayant affligé le pays). Ensuite, l’INSOUTENABLE ARROGANCE de l’ETERNEL PETIT COLON FRANÇAIS qui, décidément, a besoin d’une sérieuse claque pour se retirer définitivement de l’Afrique et des affaires africaines.

L’abdication du président ATT devant la France, en plus de raviver en nous le sentiment d’humiliation de l’éternel colonisé, vient asséner à l’INCONSCIENT COLLECTIF MALIEN un coup bien plus ravageur qu’une bombe qui tombe sur le pays et le met sens dessous dessus. Cet acte irresponsable et pusillanime, d’un rare opprobre, vient tout simplement enlever aux Maliens leur dernière illusion sur une HYPOTHETIQUE SOUVERAINETE NATIONALE. Et leur rappeler qu’ils sont voués à être d’ETERNELS ESCLAVES DU LEUCODERME (qu’il soit arabe basané ou visage pâle de l’Occident)…

DEUX POIDS, DEUX MESURES

En cédant à la déplorable demande du LUGUBRE ministre français BERNARD KOUCHNER et en acceptant d’échanger quatre prisonniers terroristes contre un seul et unique français (Pierre Camatte), le président malien ATT ne fait pas seulement échec à la sacro-sainte règle de « NE JAMAIS CEDER AU CHANTAGE DES TERRORISTES » qui prévaut en France comme ailleurs – dans tout pays qui se respecte. Il saborde aussi les efforts d’une UNIFICATION AFRICAINE en dédaignant la requête d’extradition de ses voisins de la Mauritanie et de l’Algérie – pays dont sont respectivement issus les terroristes en question – qui, outrés par l’affront, ont purement et simplement décidé de rappeler leurs ambassadeurs respectifs. Il bafoue aussi le SYSTEME JUDICIAIRE MALIEN, en organisant tous azimuts un SIMULACRE DE PROCES (tenu incognito au petit matin) visant à absoudre les précieux prisonniers.

Si encore l’otage à échanger était un Malien ! Mais, non, c’est un Français. Et c’est à ce niveau qu’on touche du doigt le point le plus sensible, car le geste du président malien conforte à jamais la regrettable NEVROSE OCCIDENTALE, un NOMBRILISME PUANT– vil produit d’un RACISME ATAVIQUE ET RAMPANT–, poussant sans cesse le PETIT BLANC de l’Occident à se croire sorti des cuisses de Jupiter et à penser que sa misérable vie est bien supérieure et bien plus précieuse que celle de n’importe quelle créature du bon Dieu ou de la bonne Déesse. Ainsi, la sauvegarde de la vie d’un membre de cette « SUPER RACE » doit valoir tous les sacrifices, toutes les injustices et toutes les entorses aux règles universelles qui, du reste, ne sont faites qu’à l’aune de ses mesquins et médiocres besoins. Ainsi, dans le moindre incident impliquant un visage pâle et le fils d’une autre « race », la balance des faveurs doit toujours s’incliner du coté de la BLANCHEUR CADAVERIQUE. Quel drame alors !
Et c’est cette INSOUTENABLE ET INFAME LOGIQUE de DEUX POIDS, DEUX MESURES que le fantoche président malien vient de cautionner devant Dieu et les Hommes, la conscience tranquille…

LE RETOUR DU BOOMERANG

Rien n’arrive sans cause et rien ne se fait sans conséquence. Il est vrai que le fantoche président malien ne pouvait s’offrir le luxe de rejeter les injonctions de ses maitres français qui l’ont mis à la « majestueuse » place qu’il occupe aujourd’hui. C’est un secret de polichinelle, il n’a jamais été l’émanation d’une volonté populaire malienne, pas plus qu’il n’a été l’instigateur du fameux coup d’Etat de mars 1991 qu’on lui attribue. Comme il n’a cédé le pouvoir aux civils de son plein gré…

Donc, refuser d’accéder à l’infâme exigence de la France (et sa troupe de Francs-maçons), c’est pour lui un ACTE SUICIDAIRE. Ce serait comme signer un DECRET DE COUP D’ETAT contre lui-même. En un mot, s’exposer au TERRORISME FRANÇAIS— le plus grand de tous les terrorismes (avec celui des Etats-Unis)…

Le président ATT croit donc s’en tirer à bon compte en pariant sur la France qui lui a si bien enseigné à la petite école l’inoubliable cantique « Nos ancêtres, les Gaulois ! ». Ce qu’il ne sait pas, et qu’il ne comprendra jamais— parce que c’est au dessus de son entendement—, c’est qu’UN PEUPLE MORDU EN VAUT CENT. Un peuple bafoué par son chef est capable des pires retournements de situation. Il ira devant bombes et canons pour se reconnaître ou se refaire une identité. Et la France n’y pourra pas grand-chose, puisque la France elle-même, pays en pleine décomposition, n’a jamais été aussi invulnérable qu’elle veut bien le faire croire. Elle a déjà PERDU DES GUERRES qu’elle était supposée gagner mille fois, notamment contre l’ALGERIE et le VIETNAM…
En réalité, la France comme les Etats-Unis ne gagnent presque jamais de guerres, pourvu qu’on leur oppose du cœur et de la détermination… Il faut entendre par « guerres », la GUERRE IDENTITAIRE aussi…

C’est pourquoi — NOUS LE PREDISONS — le président malien ATT, qu’il ait agi par lâcheté, par opportunisme ou par réalisme, peu importe, vient — paradoxalement — de signer sa FIN. Parce que pour lui, le RETOUR DU BOOMERANG sera terrible. La France ne le sauvera pas du courroux des FORCES INVISIBLES du Mali. Il quittera le pouvoir par la PETITE PORTE…

PS : Pas besoin de nous tendre un TRAQUENARD ou de nous faire ASSASSINER (comme on a enlevé ou assassiné d’autres), parce que cela ne changera rien à la PREDICTION.

MF KANTEKA