vendredi 15 juillet 2011

AFFAIRE SAMI TCHAK (SUITE) : LES IMPRUDENCES ET INCARTADES D’UN CONTREFACTEUR

NB : Vous n’allez pas le croire! La semaine dernière, environ 2 heures après l’affichage de mon article sur sa contrefaçon, Sami Tchak a eu le toupet de m’adresser deux longs courriels (dont le dernier est un correctif du premier). Tentant de se justifier, il prétend, tenez-vous bien, qu’il ne me connait pas et ne m’a jamais lu. Ah !!! Mieux que tout cela, il me demande de publier son courriel sur… mon blog ! Pouvez-vous seulement le croire ? Ce bonhomme est encore plus ABRUTI que je ne le pensais. Je reviendrai là-dessus bien plus tard…
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Inspiré par les démons de la contrefaçon, de la jalousie et de la méchanceté gratuite, le Togolais SADAMBA TCHAKOURA alias SAMI TCHAK, sociologue et écrivain, dans un livre intitulé AL CAPONE LE MALIEN, s’est embarqué dans une histoire qui ne peut que mal finir pour lui. ROBOT actionné par des pirates de haute mer qui lui servent de maîtres, il s’est risqué sur des sujets très sensibles— hors de sa portée— qui, comme des épées magiques, le réexpédieront dans les ténèbres d’où il est sorti.

Aussi maladroit que médiocre, frappé par une imbécilité chronique et pris dans un accès de sorbonègrerie, oubliant les précautions les plus élémentaires, multipliant les impairs et les balourdises verbales, il a semé sur les lieux de son crime des indices qui seront révélés en temps utile. En attendant de le confondre publiquement et de le poursuivre (lui et la maison qui l’a publié, ainsi que ses complices) pour sa contrefaçon, il est plus que nécessaire de lui apprendre certaines vérités— comme à un élève de la maternelle.

RAPPEL

Ignorant toute règle de décence et de gratitude, le petit nègrenegat togolais est tombé sur les paisibles habitants de Niagassola, comme un SINGE EN RUT, souillant leur honneur dans un voyeurisme et un étalage d’une innommable perversité, et s’attaquant, sans état d’âme, à tout un peuple dont le vécu dépasse de loin celui de ses commanditaires et maitres français.

Ainsi, après avoir profané la case sacrée où se trouve le Balafon magique de Soumahoro, il se délecte de « la banalité des lieux » et de « l’insanité des croyances et du culte autour de cet instrument de musique » qu’il considère comme « le peu de traces matérielles qu’il leur reste de leur empire » (en parlant de ses hôtes maliens), et inventant une puérile scène, il poursuit son attaque : « Nos jeunes compatriotes noirs ont manifesté leur désir de s’en aller. On aurait dit des touristes déçus et, légende ou pas, la déception n’a pas mille noms… Mais un balafon, c’est un balafon, rien de plus. Et je crois que ces gosses n’avaient pu s’incliner devant ce balafon… », puis: « L’empire du Mali et son balafon n’avaient pas une importance significative pour mon identité… », et, toujours méprisant à l’égard de ses bienfaiteurs qui, selon lui, affrontent « leur présent ordinaire à l’ombre d’un passé rêvé » et pour qui la présence à Niagassola du couple de voyous camerounais (Al Capone et sa poule) constituait un « insigne honneur », et faisant tenir à son Al Capone ces propos outrageants : « Gens du Grand Manding, je vous ais peut-être offensés, cependant permettez-moi de vous dire la vérité : je ne suis pas venu ici pour votre balafon, j’ai juste suivi une femme. », poursuivant sur sa lancée, jouissant de plus belle : « Le car quitta Niagassola et le balafon de Soumaoro s’est retrouvé seul dans la cour des Kouyaté. Namane a alors ordonné à trois de ses neveux de ramener le Sosso-bala dans son sanctuaire « d’où même Dieu ne pourra plus le faire ressortir ».

Pour finalement boucler la boucle avec cette sentence: « Enfin, notre reportage nous avait permis d’être témoins ce jour-là de cet événement dont la mémoire orale de Niagassola se nourrira. On racontera aux enfants plus tard qu’un jour un prince était arrivé ici avec sa limousine, attiré par la beauté d’une femme, que ce prince du Cameroun était venu pourtant avec sa princesse, une très, très belle femme, que ce prince avait fait un tour de magie, qu’il avait fait sortir de sa bouche un pigeon blanc pour impressionner la femme qu’il avait suivie, qu’il s’était ainsi attiré la colère de Namane Kouyaté, qu’il donnait de l’argent avec la même facilité que l’arbre à Karité verse des larmes blanches. On racontera, les griots raconteront… Mais on racontera que les jeunes Français noirs, arrivés à Niagassola pour voir le balafon sacré, l’un des plus grands symboles de l’histoire du Manding, avaient suivi la limousine noire du prince, qu’ils étaient partis sans dire au revoir. »

Il n’y a pas à dire, cet ANIMAL FORESTIER s’est bien BRANLÉ à nos dépens. Son MÉPRIS INFONDÉ —et SIMULÉ—, exprimé par des commentaires aussi désagréables qu’indécents, n’épargne aucun habitant de la localité : « Les gens dans la cour parlaient. Le taureau avait été déshabillé de sa peau et dépecé par plus de vingt personnes qui avaient été plus rapides que des CHAROGNARDS. Justement les vautours sont venus en grand nombre pour leur boulot de nettoyage. Les voilà qui se chamaillent avec des chiens, ils se disputent à grands coups de bec et de museau ce que les humains avaient jeté derrière la concession. » (pp 95-96)

Il s’en prend même aux NOTABLES de Niagossola: « Et voilà que revenait dans la concession des Kouyaté le chef du clan suzerain, l’imposant kabila-tigui, habillé d'un boubou blanc orné de gris-gris, suivi de tous les autres notables dont le CHEF DE LA CONFRÉRIE DES CHASSEURS, un vieil aveugle censé avoir des pouvoirs magiques. L’épaisse chassie qui exsudait de ses yeux éteints à jamais, qui lui attirait l’humiliante compagnie des mouches, vous le collait durablement à la mémoire comme l’image de l’une de ces fréquentes et banales souffrances humaines.» (p 102)

Le KABILA-TIGUI (CHEF DU CLAN), El Hadj Dionta-Mady Kéita, eut lui aussi droit à sa gifle : « Le kabila-tigui usa, quant à lui, de son rang pour disperser la foule afin qu’il puisse se faire, lui aussi, mais seul d’abord, puis entouré de ses notables, photographier près de la limousine noire. Si excité, il se montra d’une irritante faconde en usant à la fois de sa langue maternelle et de son français approximatif. » (p 103)

Ces propos sont d’autant plus irritants qu’ils sont GRATUITS, puisque les épisodes mettant en scène la LIMOUSINE NOIRE sont de la PURE FICTION, tout comme la présence de son Al Capone à Niagassola et les faits et gestes qui lui sont attribués.

MISE AU POINT

C’est indéniable, ce nègre de service n’a fait qu’exécuter un AGENDA bien préétabli, affirmant tout haut ce que ses commanditaires et maitres espèrent dire, sans en avoir ni les moyens ni l’occasion. Dès lors, une mise au point s’impose. Et je vais en dire le moins possible, pour éviter de me faire encore contrefaire, parce que ces gens sans honneur, qui ont épuisé leur discours et leur imagination, sont toujours à l’affût pour piquer de quoi nourrir leur industrie culturelle. Mais le peu que je vais dire sera suffisant pour leur clouer le bec.

D’abord s’agissant du « PASSÉ RÊVÉ DU MALI », à moins que toute l’histoire humaine ne soit un rêve, celle du Mali ne saurait l’être et va bien au-delà de la légende que les griots nous ont servie jusqu’à présent. Une légende qui se moque des réalités temporelles et se contente de fondre plusieurs générations d’histoire en une seule avec, des personnages de conte, qui sont en fait des personnages composites. L’histoire du Mali est bien plus grandiose et outrepasse les frontières de l’actuel Mali, pur produit du partage colonial. Elle dépasse largement celle de la France qui, au-delà des mythes, n’est qu’un jeune pays, sorti de la nuit depuis seulement quatre siècles, tout au plus. Et je suis généreux !

Ce ne sont pas d’ailleurs des Maliens qui ont écrit des chroniques sur l’histoire de ce pays, mais des voyageurs de l’Orient, à une époque où la France faisait figure de naine dans l’histoire humaine.

NIAGASSOLA ET LES TRACES MATÉRIELLES DE L’EMPIRE MANDING

Sadamba Tchakoura alias Sami Tchak, se définissant comme un sociologue sorti des cuisses de la Sorbonne, en désignant le Balafon de Soumahoro comme « le peu de traces matérielles » de l’Empire manding, fait étalage de la VACUITÉ DE L’ENSEIGNEMENT que prodigue l’ÉCOLE FRANÇAISE dont il est issu. Aucune source fiable ne peut prétendre que l’histoire du Mali s’arrête à Niagassola et au Sosso-bala. Rappelons juste qu’à son apogée l’Empire du Mali s’étendait de l’Adrar des Iforas à l’estuaire de la Gambie.

Si Sami Tchak et ses commanditaires veulent trouver des traces matérielles, ce ne sont ni les matériaux, ni les endroits qui manquent. A condition pour le petit Sami de bosser comme un vrai chercheur, et non comme un CLOWN programmé pour jeter l’opprobre sur un passé qui fait figure de RÉFÉRENCE dans les ANNALES DE L’HISTOIRE. Et dont on peut trouver les traces bien au-delà des frontières africaines. Il n’a qu’à lire le livre de Van Sertima THEY CAME BEFORE COLOMBUS (Ils sont venus avant Christophe Colomb), attestant que des Maliens ont découvert l’Amérique avant Christophe Colomb. Il pourrait lire aussi les MÉMOIRES DE CHRISTOPHE COLOMB lui-même, assez honnête pour reconnaitre ce fait.

Du reste, j’ai dans mes archives les résultats de FOUILLES ARCHÉOLOGIQUES attestant de la grande avancée technologique du MANDÉ pendant la période dite PRÉDYNASTIQUE. Des traces matérielles, illustrées par des photos, qui permettent de comprendre que ce Mandé de NIANI MASSA KARA KAMARA (l’un des premiers Soumahoro) se situe à des années lumières de l’Occident médiéval et battent en brèche bien de théories pseudo-scientifiques attribuant certaines inventions au Blanc…

Quant à la « banalité des lieux » qu’il évoque en parlant de la case où est conservé le Sosso-bala, je lui rappelle que la culture mandingue n’est pas une culture de monuments comme l’était l’Égypte. Et que même dans cette Égypte pharaonique, il y avait un contraste réel entre les imposants temples et pyramides érigés par les pharaons et leurs propres demeures, comme le rappelle l’historien burkinabé Joseph Ki-Zerbo : « Le pharaon est un souverain disposant d’une administration raffinée. Il se fait enterrer dans des sarcophages en or ou en argent massif, mais il habite une maison en terre. » (’’Histoire de l’Afrique Noire’’, Hatier Paris 19 78, page 75)

D’ailleurs, Sami Tchak aurait-il oublié que Namankoumba Kouyaté, dans son étude sur le Sosso-bala, a bien précisé que cet instrument était gardé dans l’HABITACLE SACRÉ de Soumahoro qui était « une sorte de grotte aménagée à cet effet » et que « cela explique que le balafon soit toujours conservé dans la case du conservateur, à l’exclusion de tout autre lieu » ?
Je pourrais en dire long sur les raisons d’une telle pratique et surtout de cette GROTTE qui revient souvent dans mon ouvrage et hante l’existence de mon personnage DJINÈFOLO DONDIANKOUMAKÈLA SOUMAHORO…
Je me contenterai juste de dire que si l’Empire manding n’a pas laissé des vestiges en monuments, il a en revanche laissé une culture vivace qui n’a rien à envier à la civilisation égyptienne— ensevelie sous les sables du Temps et de l’invasion.

LE BALAFON, LA CULTURE ET LA MUSIQUE MANDINGS

Quand le sorbonègre togolais, Sadamba Tchakoura alias Sami Tchak, affirme qu’un « balafon est un balafon, rien de plus », on pourrait couper court au débat, en lui rétorquant qu’une « limousine est une limousine, rien de plus », c'est-à-dire un assemblage de ferraille, monté sur du pneumatique et doté d’un moteur pour le faire rouler, comme n’importe quelle voiture. Ce serait lui faire la part trop belle. Parce qu’en touchant à ce sujet, il m’offre l’occasion de l’enfoncer davantage dans son COMPLEXE D’INFÉRIORITÉ, vis-à-vis d’une culture dont il aurait aimé être issu…

Le Sosso-bala de Soumahoro, dont l’invention remonte certainement bien plus loin que l’an 1205 donné par Namankoumba Kouyaté et d’autres (il faut savoir à quel Soumahoro on l’attribue), il fallait le faire à cette époque où ni le piano, ni l’orgue, ni la guitare moderne, très vraisemblablement, n’existaient pas encore. Et cet instrument de musique, comme tout instrument de musique, n’est pas à juger par son apparence matérielle, mais plutôt par les SONS qu’il produit. Et, toutes croyances mises de côté, les sons produits par le Sosso-bala et d’autres instruments de fabrication mandingue ont fait et continuent de faire leurs preuves dans l’univers musical, comme en témoignent la réussite des artistes maliens sur la scène mondiale. Et ce, en ne produisant que des rythmes et des mélodies de chez eux.

Je n’irai pas plus loin sur ce point et me contenterai de faire parler une INTERVIEW, que j’ai réalisée en février 2000, pour le compte du journal ’’LE MALIEN’’, avec l’auteur-compositeur américain JACKSON BROWN, poète, pianiste et guitariste, monument de la ’’Folk Song’’, courtisé par les plus grands de son univers, comme Eagles, Byrds, Joe Cocker, Bruce Springsteen, Elton John, Linda Ronstadt, etc. C’est un EXCELLENT TÉMOIGNAGE de la qualité et de l’impact de la musique malienne sur la scène internationale.
À ma question : « Pourquoi êtes-vous venu au Mali ? », ce monstre sacré du Rock répondit : « Je suis au Mali pour sa musique. Pour écouter davantage cette musique et connaitre le pays qui a produit cette musique surprenante. LA MUSIQUE MALIENNE EST UNIQUE AU MONDE et je voulais m’en rapprocher davantage. » Autre question : « Pourquoi cette musique est-elle unique au monde? » Réponse : « Je ne suis pas la personne la mieux indiquée pour le dire. Il y a probablement les instruments, les griots… Je ne peux vous dire pourquoi. Je ne suis pas musicologue et je suis seulement ici depuis deux semaines. Il y a beaucoup de choses dans cette musique : le rythme, les voix… Ça m’affecte vraiment très fort. C’est très poignant, très hypnotisant, très surprenant. Et je voudrais bien savoir pourquoi ça a un tel effet sur moi. C’est une musique très différente de ce que je fais. »

Et bien plus loin, il dira encore : « J’ai rencontré HABIB KOITÉ l’année dernière quand son album ‘’Maya’’ est sorti aux États-Unis. Son album a connu un grand succès là-bas et a occasionné une grande popularité pour lui. Ce fut la première fois que j’entendis parler de lui. C’est vraiment un grand. J’aime beaucoup sa musique. Je n’arrive pas encore à comprendre pourquoi cette musique m’affecte si profondément. Je suis quelqu’un de très lyrique, je suis très porté sur les mots. Cette musique est comme une sorte de MYSTÈRE pour moi, comme celle d’OUMOU SANGARÉ et de SALIF KÉITA… Pour quelqu’un comme moi dont la musique est surtout basée sur les mots, c’est comme une EXPLORATION, un NOUVEAU TERRITOIRE, du point de vue du rythme, des performances, du moral etc. Ça me procure des SENSATIONS ÉTRANGES et ça me fait RÊVER… Certains de mes amis se moquent même de moi, en me disant que j’apprécie la vie d’un pays dont je ne comprends même pas la langue et que je n’aurai personne là-bas avec qui échanger. C’est peut-être vrai. Mais le fait est qu’on arrive à se faire une idée avec la TONALITÉ des MOTS, le RYTHME, les COULEURS, les SONS qui sont très différents de tous ces trucs trop cérébraux, trop logiques. »

Il conclut l’interview avec ces mots : « Je suis vraiment très content d’être ici et d'ACQUÉRIR DE L’EXPÉRIENCE. Je reviendrai ici aussi vite que je le pourrai. J’ai beaucoup d’idées en tête. J’envisage de venir ici avec MON GROUPE dont tous les membres apprécient la musique malienne. Ils seraient très ravis de venir ici. Normalement, je les paie très cher pour qu’ils m’accompagnent dans les concerts. Mais je crois que cette fois-ci, je peux leur demander de ME PAYER pour que je les emmène ici. Et je vous assure qu’ils seront prêts à me payer pour venir ici. » Et il accompagna ces propos d'une franche rigolade, avant de clore : « Je viendrai avec mon matos et ma bande. Et ils me payeront pour cela. » (Extraits du ’’Malien Magazine’’, no 139 du 2 mars 2000).

Ému par son émotion et sa petite mine, j’avais pitié de lui, pour la simple raison que ce géant, qui nous a fait rêver dans notre adolescence, se revoyait à la case de départ, obligé de repenser totalement sa conception de la musique…

Sami Tchak, qui simule le mépris pour certaines croyances, saisira certainement l’occasion de faire un rapprochement entre ce témoignage de JACKSON BROWN et les propos de l’un des plus grands détracteurs de Soumahoro, DJIBRIL TAMSIR NIANE, qui, dans son épopée de Soundjata, a pourtant écrit, en parlant du mythique griot Balla Fasséké Kouyaté, foulant la demeure sacrée de Soumahoro : « Jamais il n’avait vu un balafon aussi harmonieux ; à peine effleuré par la baguette, le bois sonore laissait échapper des sons d’une douceur infinie ; c’étaient des notes claires comme la poudre d’or… Tout semblait prendre vie aux accents de cette musique magique… Toutes les oreilles n’étaient pas faites pour en entendre la musique. Soumaoro était en rapport constant avec ce xylophone… » Et surtout cette phrase du même auteur : « Aussi loin qu’il (Soumahoro) se trouvât, il suffisait qu’on y touchât (le balafon) pour qu’il sût que quelqu’un s’était introduit dans sa chambre secrète. »

La preuve que la légende recèle parfois des vérités cachées, est que SAMI TCHAK, à l’instar du mythique griot Balla Fasséké Kouyaté, vient de se faire surprendre par un autre Soumahoro (c'est à dire moi-même), pour avoir profané le Balafon magique. Croyance ou pas, c’est un fait qui lui coûtera très cher…

J’aurais aimé ajouter d’autres vérités, mais malheureusement j’ai rempli mon espace de parole. Je rappelle seulement à Sami Tchak, à Mabanckou, leurs complices et tous les autres contrefacteurs que c’est justement parce que je suis issu et imbu de cette culture, qu’ils sont obligés de me PLAGIER et de me CONTREFAIRE. Le « HASARD », je l’ai dit et le répète, n’existe pas dans le langage de la Nature. Et comme on le dit si bien chez nous, « TOUT N’EST QU’HÉRITAGE ». Même la TRAHISON DES GRIOTS sur laquelle je reviendrai…

À SUIVRE

Mountaga Fané Kantéka