mercredi 6 juillet 2011

’’AL CAPONE LE MALIEN ’’ : UNE AUTRE EXÉCRABLE CONTREFAÇON COMMANDITÉE PAR LA FRANCE

À n’en pas douter, le prolifique ’’ODYSSÉES NOIRES /Amours et mémoire d’Outre-monde / La main de Soumahoro et la mort d’un mythe ’’, signé par Mountaga Fané Kantéka, est devenu le livre magique de ce temps. Bien tenu à l’écart des grandes tribunes commerciales, il est pourtant le fleuve où viennent s’abreuver les rapaces et les vampires de la littérature francophone. La canaille écrivassière en mal d’inspiration et de verbe créateur, soutenue par une gent maçonnique déboussolée et une industrie culturelle française agonisante, en a fait son eldorado— à travers une cascade de stériles et ridicules contrefaçons. Confirmant ainsi que par delà le temps et la légende, Soumahoro demeure ce Dieu-Civilisateur qui continue de nourrir le monde, à travers ses œuvres et celles de sa descendance.

La dernière contrefaçon en date s’appelle AL CAPONE LE MALIEN, un roman signé par le fantomatique Togolais SAMI TCHAK, publié récemment par Mercure de France, mélangeant des univers inconciliables et se hasardant sur un terrain miné qui, comme des sables mouvants, l’engloutira à coup sûr. Ce SAMI TCHAK est un SORBONÈGRE (Nègre utilisant son diplôme de la Sorbonne pour martyriser ses congénères, au profit de ses maitres blancs), rêvant secrètement à des ancêtres gaulois. En bon Nègre de service du PETIT BLANC-SANS-COUILLES-ET-SANS CERVELLE, sous l’égide de ses pâles seigneurs, il a cru bon de s’abriter derrière des subterfuges, aussi vains que sa démarche littéraire, pour accomplir son forfait.

REPORTAGE-ALIBI ET VOYEURISME

Voulant innover dans leurs techniques de la contrefaçon, Sami Tchak et ses mentors français ont jugé nécessaire de recourir à un « reportage » à Niagassola, soi-disant sur le Sosso-bala, le mythique Balafon de Soumahoro. C’était le moyen tout trouvé pour eux de faire main basse sur des pans de mon ouvrage, à des desseins peu louables. Et pour couronner ce HOLD-UP LITTÉRAIRE, ils utilisent comme personne-ressource Namankoumba Kouyaté, la source que je cite dans mon chapitre intitulé Le Balafon magique de Niagassola : la révélation qui faillit me transporter sur les sentiers irréversibles de la folie. (ODYSSÉES NOIRES, page 276)

Et ce Namankoumba Kouyaté devient carrément un personnage central du roman de Sami Tchak sous le nom de Namane Kouyaté, dépeint sous les traits d’un lunatique et un vieux pervers sexuel qui ne jure que par sa jeune épouse Fatou Diakité et ne rêve, au propre comme au figuré, que de la mettre dans le lit d’un jeune amant dont le narrateur du roman Réné Cherrier, un Français à la peau blanche (rêvant lui aussi de coucher avec la femme de son hôte).
C’est l’autre subterfuge de cette bande d’escrocs littéraires. Un vain subterfuge, puisque Sami Tchak lui-même avoue dans la dédicace de son livre : « À JEAN-LUC MARTY, qui m’a offert l’occasion de faire des reportages à Niagassola et à Venise pour le magazine Géo ».

En choisissant un journaliste blanc comme alter-ego, pour romancer davantage sa contrefaçon ou pour exorciser la peur des conséquences de son forfait, Sami Tchak, Nègre amputé, trahit son imaginaire infesté par les scories d’une existence occidentale, prolongée au-delà du souhaitable. Puisqu’en fait de « reportage » sur le Sosso-bala, cet étrange personnage se livre plutôt à une CHARGE EN RÈGLE contre les MŒURS DE LA FAMILLE KOUYATÉ DE NIAGASSOLA, gardienne de l’instrument mythique. Rien n’y est épargné : leur cupidité, l’absence d’autorité de leur chef de famille et gardien attitré du Sosso-bala, l’enfance maltraitée (sous les traits de la jeune folle Bintou Kéita, battue à sang, à coups de pieds et de poing, par des adultes et des enfants de la famille Kouyaté), des obscénités attribuées aux femmes de la concession, etc.
Bref, un voyeurisme propre à l’imaginaire occidental, malade et frappé de mièvrerie chronique, ne pouvant plus jouir qu’à la vision de la détresse ou la décrépitude d’autrui…
Avant de poursuivre ma petite analyse, je tiens à faire une précision.

BIENVENUE DANS LES SANCTUAIRES DE LA CONTREFAÇON : FRANCE CULTURE, RFI ET LE CLAN MABANCKOU


La nouvelle du croc-en-jambe de Sami Tchak m’est miraculeusement parvenue par l’inévitable « Radio mondiale » RFI, la radio coloniale impliquée dans tous les mauvais coups, quand il s’agit de préserver les intérêts français dans ses anciennes colonies. Et usant de moyens empruntant au TERRORISME INTELLECTUEL. Il y a quelques mois de cela. Toujours par un de ces heureux « hasards » qui me fit entendre un animateur de cette PRÉTENTIEUSE et HYPOCRITE RADIO demander à son invité, Sami Tchak : « Dans votre roman, vous parlez du Balafon magique de Niagassola… »

Tiens, donc ! J’ai tout de suite perçu le message qui m’était directement destiné, tout simplement à cause de l’expression « Balafon magique de Niagassola », utilisée par moi pour désigner le Sosso-bala qui fait l’objet d’une étude de Namankoumba Kouyaté, Le royaume du Sosso-bala : une université de la tradition orale, que je cite largement dans mon ouvrage. Et aussi à cause du nom de Namane Kouyaté sur lequel insista l’animateur radio. En clair, c’était une manière de m’avertir qu’ils sont encore « tombés sur moi », comme me l’avait déjà prédit Bintou Touré de Présence Africaine : « Si tu publies ce livre, ils vont tomber sur toi ! » Tomber sur moi ? Comment ? Pourquoi ? Qui va tomber sur moi?

Les réponses n’allaient pas tarder à venir avec la première contrefaçon, VERRE CASSÉ, endossée par le Congolais Alain Mabanckou s’exprimant sans ambages: « tant que les personnages de vos livres ne comprendront pas comment nous autres-là gagnons notre pain de chaque nuit, y aura pas de littérature mais de la masturbation intellectuelle ». Mabanckou n’a point dit « je », mais un « nous » aussi inquiétant qu’éloquent. Et depuis, j’ai été bien servi. Lui et les siens se sont grassement masturbés à mes dépens. Une véritable bacchanale ! (voir ma série d’articles sur L'ÉNIGME MABANCKOU OU COMMENT DEVENIR « AUTEUR » CÉLÈBRE SANS ÊTRE ÉCRIVAIN ?)

Donc, ayant appris par RFI ce nouveau coup, signé par Sami Tchak, bien que sachant que c’est un PIÈGE qu’on me tendait, j’ai filé droit sur internet pour en avoir le cœur net. Au premier click sur Google avec ces mots-clés « SAMI TCHAK MABANCKOU », je gagnai au jackpot. J’étais définitivement édifié. J’appris sans surprise que ce forban était un copain de Mabanckou qui l’a introduit dans le TEMPLE de la CONTREFAÇON— FRANCE CULTURE.
J’ai donc téléphoné à Paris pour qu’on m’envoie son bouquin. Après plus de deux mois d’attente, je l’ai finalement reçu le vendredi 1er juillet. Trois jours de lecture et d’annotations, et toutes mes prévisions sont confirmées. SAMI TCHAK et MABANCKOU sont tous deux fils du même démon ! Un fait qui lui a probablement inspiré un passage de son ouvrage, mettant dans la bouche de son héros Al Capone ces propos: « Je me sentais comme un nouvel adepte d’une secte qu’on allait, pour la première fois, introduire dans le temple. » (page 144)

Sami Tchak ne fait d’ailleurs pas mystère de cet appui de l’establishment littéraire français. Sur la page de son roman consacrée aux remerciements, il écrit : « J’ai écrit une partie de ce roman au cours de mon séjour de deux mois, mars et avril 2009, à la Maison des Écritures de Lombez Midi-Pyrénées, grâce à une bourse du CENTRE NATIONAL DU LIVRE DE PARIS que je tiens à remercier. »
On ne peut être plus explicite ! Vous voilà un peu plus édifiés sur le cercle. Mais pourquoi tout cela ?

CONTREFAÇON OU GUERRE DES CULTURES


Au-delà de l’aspect financier, consistant à traire une œuvre comme une vache laitière pour financer notamment des campagnes électorales, moyennant des retours d’ascenseur, la contrefaçon revêt un ASPECT IDÉOLOGIQUE qui n’est que l’autre versant de la politique impérialiste que la France moribonde tente désespérément de maintenir en Afrique. C’est une véritable GUERRE IDÉOLOGIQUE visant à sanctifier des mythes et des légendes, maintenant les mentalités africaines dans un obscurantisme autodestructeur, fait d’autosatisfaction béate, empêchant tout questionnement sur notre culture et sa part de responsabilité dans notre asservissement au profit de l’Homme blanc…

Comme je le rappelais dans un de mes articles sur le phénomène, naguère, le PETIT BLANC de la France a eu recours à des bandes de Nègres, appelés TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS, pour former son armée coloniale qui a soumis une bonne partie de l’Afrique occidentale, pillée et sodomisée à outrance. Après cinquante ans d’ « indépendance », on se remet péniblement de ce traumatisme psychologique. Et voilà que cette France, à l’imaginaire irrémédiablement corrompu, consciente de son crépuscule irréversible, ne veut pas lâcher le morceau. Elle passe maintenant par des CHEMINS DÉTOURNÉS pour maintenir son EMPRISE PÉDÉRASTE, au propre et au figuré, sur l’Afrique, à travers les MAILLONS FAIBLES du continent— les NÈGRENÉGATS (Nègres-renégats).

Et l’un de ces chemins détournés constitue le monde de la culture dont la littérature, un domaine privilégié de l’imaginaire d’un peuple. Pour cela, elle recrute des TIRAILLEURS DE LA PLUME, comme ALAIN MABANCKOU et SAMI TCHAK et autres, pour DYNAMITER toute ŒUVRE RÉVOLUTIONNAIRE visant à restituer des vérités africaines travesties par des légendes ayant favorisé l’établissement de l’Homme blanc en Afrique, en passant par des pratiques esclavagistes qui ont saigné le continent.

Elle sanctifie donc les œuvres rigolotes et /ou dépravées, baignant dans un univers marécageux, imbibé de sperme de sodomites, d’urines, d’odeurs de pets ou de caca, de mouches, si ce n’est des œuvres qualifiés de « romans noirs », comme pour perpétuer l'ANATHÈME sur l’Afrique et les Noirs, prétendument exclus des créatures de Dieu. Et ce, à cause d’une littérature nauséabonde divinisant le MENSONGE RACIAL et RACISTE que le livre ODYSSÉES NOIRES démonte pièce par pièce, en remettant l’Homme blanc à sa juste place— celle de la DERNIÈRE DES « RACES », la QUEUE DU PELOTON HUMAIN dans le Système de hiérarchisation de l’Égypte pharaonique (rapporté par Champollion-Le-Jeune), quand l’Homme blanc s’habillait de peaux d’animaux et, nomades hirsutes, vivaient d’expédients, errant d’une caverne à l’autre ou d’un marécage à l’autre…

En revanche, cette France agonisante sanctionne sévèrement les ouvrages s’attachant à une identité africaine authentique, fière et impériale. À défaut d’étouffer ces œuvres par un lâche PACTE DU SILENCE, on les contrefait. Les CONTREFAIRE pour les CONTRECARRER, en plus d’en tirer des profits. Et des médias comme RFI sont financés pour faire la promotion de ces contrefaçons. RFI dont la politique éditoriale ne repose que sur l’éculé principe de diviser pour mieux sévir. Heureusement que nombre d’Africains ne sont pas dupes. Cette radio est irrémédiablement vouée à la mort. Juste une question de temps !

C’est une guerre sans merci. C’est pourquoi, il est très fréquent de trouver dans les œuvres contrefaisantes des ATTAQUES PERSONNELLES contre les auteurs spoliés et leurs proches. Les contrefacteurs n’hésitent pas à transgresser leur intimité, à travers des informations, vraies ou fausses, obtenues auprès de leurs connaissances, si ce n’est carrément des détectives mis à leurs trousses pour avoir de quoi les nuire, ou encore des écoutes électroniques. On atteint le comble de l’hystérie quand, influencés par des RITUELS MAÇONNIQUES, ils en viennent à les ASSASSINER SYMBOLIQUEMENT, à travers des personnages romanesques, créés à leur intention, comme Mabanckou le fait dans MÉMOIRE DE PORC-ÉPIC, avec AMÉDÉ, un érudit dont la cervelle (l’intelligence) dérangeait Mabanckou et son maître…


LA GRANDE INSULTE À L’HISTOIRE MANDINGUE: UN PASSÉ « RÊVÉ » ?

AL CAPONE LE MALIEN, de par son titre même, a intrigué ou choqué bien de Maliens qui, n’ayant pas lu le livre, se demandent quel rapport ce célèbre gangster américain pourrait avoir avec le Mali. Ils ont raison, parce que, après lecture du roman, je ne vois toujours pas ce qui justifie ce titre. D’abord parce que le personnage en question, Joseph Tawa alias prince Edmond VII, est un Camerounais et l’essentiel de ses activités de bandit (disciple d’un feyman, impliqué dans des affaires d’État) se déroule au Cameroun. À défaut de AL CAPONE LE CAMEROUNAIS, il aurait pu à la rigueur l’appeler AL CAPONE LE TOGOLAIS, puisqu’il s’est installé après au Togo (le pays d’origine de Sami Tchak). Cet AL CAPONE ne devient un « Malien » que parce que Sami Tchak, contre toute vraisemblance, le fait débarquer à Niagossola, puis à l’hôtel Mandé de Bamako, pour un court séjour.

Et ceci pour plusieurs motifs. D’abord pour faire entrer la culture malienne dans son champ d’écriture et servir de prétexte pour vilipender son histoire, au grand bonheur de ses commanditaires français fortement ébranlés par les révélations contenus dans ODYSSÉES NOIRES. Ensuite, pour lui faire rencontrer une Franco-Sénégalo-Malienne, Binétou Fall, accompagnée d’un groupe de jeunes Franco-Maliens, tous vivant en France et membres de l’association ’’Les enfants de Kankou Moussa’’, venus à Niagassola pour voir le mythique Sosso-bala. Cette rencontre est une occasion supplémentaire pour Sami Tchak de saborder la culture malienne, tout en étant un moyen d’étoffer son roman.

C’est le premier point qui m’interpelle, car il offre l’intérêt de faire ressortir davantage l’aspect idéologique déjà évoqué. Un aspect idéologique, déjà exprimé dans les contrefaçons endossées par le Congolais Alain Mabanckou, qui apparait de façon plus flagrante et plus maladroite dans celle de son frère Sami Tchak. Un aspect qui s’avère en définitive être le VÉRITABLE MOBILE de ce « REPORTAGE » commandité. Et ce VILAIN PETIT CANARD de l’Afrique forestière, complexé et esclave consentant, non content de jeter l’opprobre sur ses hôtes de Niagassola, se livre à une véritable CROISADE contre le Sosso-bala et le vécu manding qu’il qualifie de « PASSÉ RÊVÉ ». Pour bien armer son coup, il fait débarquer son héros Al Capone dans une LIMOUSINE NOIRE, dans le but évident de marquer le CONTRASTE saisissant entre le rustique et millénaire instrument de musique malien et la rutilante machine occidentale.

Écoutons-le un peu, quand on lui permet de fouler avec ses pieds de canaille la case sacrée où se trouve le Balafon magique : « Il était très excité, Namane Kouyaté, probablement parce que c’était un grand moment pour lui. Quant à moi, je me trouvais dans une case et une case est une case. La banalité des lieux me faisait prendre davantage conscience de l’insanité des croyances et du culte autour de cet instrument de musique. Namane a déshabillé, enfin, le fameux balafon de Soumaoro Kanté… Oui, il est grand, mais c’est un balafon. Je me dis : le peu de traces matérielles qu’il leur reste de leur empire. » ou encore:« Nos jeunes compatriotes noirs ont manifesté leur désir de s'en aller. On aurait dit des touristes déçus et, légende ou pas, la déception n’a pas mille noms… Mais un balafon, c’est un balafon, rien de plus. Et je crois que ces gosses n’avaient pu s’incliner devant ce balafon… » (p 94), ou encore : « L’empire du Mali et son balafon n’avaient pas une importance significative pour mon identité… » (p 95) ou encore : « Namane dut abandonner Binétou Fall pour se consacrer à ce couple dont la présence à Niagassola constituait un insigne honneur pour ces hommes et ces femmes affrontant leur présent ordinaire à l’ombre d’un passé rêvé. » (p 104), ou faisant tenir ces propos à son Al Capone : « Gens du Grand Manding, je vous ai peut-être offensés, cependant permettez-moi de vous dire la vérité : je ne suis pas venu ici pour votre balafon, j’ai juste suivi une femme. » (p 118), ou encore : « Le car quitta Niagassola et le balafon de Soumaoro s’est retrouvé seul dans la cour des Kouyaté. Namane a alors ordonné à trois de ses neveux de ramener le Sosso-bala dans son sanctuaire « d’où même Dieu ne pourra plus le faire ressortir » (p 120).

Et pour boucler la boucle : « Enfin, notre reportage nous avait permis d’être témoins ce jour-là de cet événement dont la mémoire orale de Niagassola se nourrira. On racontera aux enfants plus tard qu’un jour un prince était arrivé ici avec sa limousine, attiré par la beauté d’une femme, que ce prince du Cameroun était venu pourtant avec sa princesse, une très, très belle femme, que ce prince avait fait un tour de magie, qu’il avait fait sortir de sa bouche un pigeon blanc pour impressionner la femme qu’il avait suivie, qu’il s’était ainsi attiré la colère de Namane Kouyaté, qu’il donnait de l’argent avec la même facilité que l’arbre à Karité verse des larmes blanches. On racontera, les griots raconteront… Mais on racontera que les jeunes Français noirs, arrivés à Niagassola pour voir le balafon sacré, l’un des plus grands symboles de l’histoire du Manding, avaient suivi la limousine noire du prince, qu’ils étaient partis sans dire au revoir. » (p 121)

Je vous laisse apprécier et évaluer toute l’étendue de ce discours sorti tout droit de l’imaginaire détraqué d’un Sorbonègre, originaire du Togo et ayant élu domicile en France. Ne voulant plus agir à chaud, je vais moi aussi prendre le temps de l’apprécier à sa juste valeur. Et je vous reviendrai là-dessus très bientôt. Entretemps, je vais essayer de fermer un peu l’œil…

À suivre
Mountaga Fané Kantéka