Décidément ALAIN MABANCKOU est atteint d’un mal dont seule la mort pourra le délivrer. Le VIRUS DE LA CONTREFAÇON… Et c’est encore moi qui en fais les frais. Il s’agit de son nouveau livre, intitulé LE SANGLOT DE L’HOMME NOIR… Oui, vous avez bien entendu. Et je vous vois sursauter, vous qui avez l’habitude de me lire sur mon blog, parce que ce titre vous rappelle celui d’un de mes derniers articles : KADHAFI, LE TERRORISME OCCIDENTAL
ET LES SANGLOTS DE L’HOMME BLANC.
Oui, c’est bien cela! Mais, ce que vous ne savez pas, si vous n’avez pas
encore lu mon livre Odyssées noires, c’est que le titre LES SANGLOTS DE L’HOMME BLANC, était le titre d’un chapitre du MANUSCRIT
que j’avais envoyé à la maison d’édition française Le Seuil qui l’a mis à la disposition de leur Nègre de service Mabanckou pour qu’il l’exploite à satiété, construisant sa carrière d’ « écrivain » là-dessus… Ainsi, depuis Verre Cassé, tous les livres que ce rat d'égout sort puise dans mon écrit. Bien plus que cela, il fait siens mes propos dans les interviews qu’il donne. C’est bien
pire que la sorcellerie anthropophage…
PRIS À SON PROPRE PIÈGE
En réalité Mabanckou et ceux qui l’instrumentalisent se sont trompés dans leur calcul, en tablant sur le fait que je suis un « inconnu » et qu’ils vont s’en tirer haut les mains. Ils ont compté sans l’internet et l’audience que je pourrais avoir à travers mon blog. Et c’est justement un lecteur de mon blog qui vient de m’appeler ce samedi matin 7 janvier 2012 pour m’informer de la nouvelle qu’il a apprise sur TV5 dans l’émission Afrique Presse. Mon informateur me disait qu’en écoutant Mabanckou, il avait l’impression de me lire sur mon blog. J’ai tout de suite ouvert la radio sur RFI, sachant bien que l’émission y sera rediffusée. En plein dans le mille ! Je tombai juste sur la fluette voix de Mabanckou, se faisant cuisiner par Hassane Diop et Jean-Baptiste Placca. Et ma foi, je remarque encore qu’il revient sur les thèmes de mon ouvrage en citant mes sources dont Yambo Ouologuem.
Ceci pour dire que les lecteurs avertis – et ils sont de plus en plus nombreux–, savent que
Mabanckou n’est que le pâle reflet de Mountaga Fané Kantéka. Et pour dire les choses autrement, Mabanckou a été créé par Kantéka dont il n’est que l’ombre. En clair, Mabanckou n’est qu’un zombie qui n’existera jamais en tant qu’écrivain. Il lui faut un seul livre de Kantéka pour se faire une « carrière dorée ».
C’est cela que j’avais dit à l’écrivaine africaine que le système m’avait envoyée pour me proposer un marchandage consistant à sacrifier le contrefacteur Mabanckou en échange de mon abandon de poursuite contre la maison d’édition Le Seuil. Elle m’avait dit : « Mabanckou t’a tué ! » Je lui avais répondu que Mabanckou ne peut pas me tuer. Mabanckou s’est tué lui-même, parce que l’histoire ne retiendra de lui que l’image d’un contrefacteur-renégat, protégé par la machine coloniale française. Et ses ENFANTS devront supporter ce poids toute leur vie.
Je l’avais d’ailleurs dit à Mabanckou lui-même, les tout premiers jours de ma découverte de sa contrefaçon. Je lui ai adressé ce courriel sur son site : « Ainsi, vous avez réussi à manger Amédée ? On verra bien qui sera mangé au bout du compte ! » Et ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd, puisque très ébranlé à l’époque, il faillit se SUICIDER, n’eût-été le secours de ses frères de la communauté des FRANCS-MAÇONS, comme il l’a implicitement avoué dans une interview accordée à Jeune Afrique. Mais ce n’est que partie remise, Mabanckou de toute façon est condamné à périr de la façon la plus abjecte possible. IL MOURRA DANS L’ABJECTION COMME IL A VÉCU DANS L’ABJECTION.
Mountaga Fané Kantéka
mountaga40@hotmail.com