Très affolé par ma soudaine reprise des hostilités à son endroit, pour des affaires de contrefaçons qui le poursuivent depuis 2007, et qu'il pensait définitivement enterrées, Mabanckou n'a trouvé rien de mieux à faire qu'à se rabattre sur des mercenaires pour se livrer à une véritable campagne d'acharnement et de diffamation sur ma personne.
C'est ainsi qu'un certain David Kpelly, se définissant comme ''fils spirituel de Mabanckou'' y est allé de sa bave et de sa balourdise, me gratifiant d'épithètes à la mesure de son vocabulaire ordurier (du genre Mabanckou dans Verre cassé) dans un article intitulé Les cauchemars africains d’Alain Mabanckou (http://davidkpelly.mondoblog.org/2013/03/05/les-cauchemars-africains-dalain-mabanckou/)
, diffusé massivement et simultanément sur des sites ou blogs de l'Afrique centrale et assortis de commentaires aussi superficiels que tribalistes.
Il est aidé en cela par une fille de moralité très douteuse, du nom de Marthe Fare (dont vous pouvez avoir un aperçu avec ce lien http://www.peuples-observateurs.org/article-togo-la-putain-rptiste-marthe-fare-encense-l-assassinat-de-sylvanus-114769208.html)
qui, après s'être livrée sur moi à du racolage sur twitter, agit comme une amoureuse éconduite. Son obsession pour ma personne est telle qu'elle me consacra un article dans lequel mon livre, mes écrits journalistes et mes tweets sont étalés, dans un mélange digne du bazar mabanckouen (http://marthefare.com/2013/03/06/mountaga-fane-kanteka-leternel-plagie/).
Prête à tout pour gravir les échelons, cette fille voit là une occasion rêvée de se faire une excellente auto-promotion. Experte dans la diffamation, la désinformation et la calomnie, elle va jusqu'à m'attribuer les travers de Mabanckou, agissant sous le pseudonyme de Kunta, pour me discréditer sur Wikipédia (http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Alain_Mabanckou).
Ce comportement de Mabanckou alias Kunta lui avait d'ailleurs valu un douzième chef d'accusation de diffamation, venant s'ajouter aux onze autres invoqués contre lui dans les deux contrefaçons qui lui sont reprochées.
A ce beau monde de l'Afrique centrale, vient s'ajouter un mystérieux personnage sévissant sur twitter avec l'identité de la défunte Marguerite Duras (@DurasMarguerite). Un personnage qui pourrait être Mabanckou lui-même, sinon quelqu'un de son réseau de contrefaçons, si je me fie aux échanges de messages privés que j'ai eus avec ce mystérieux internaute qui a subitement rompu le contact quand je lui ai posées deux questions fatales: ''Qui êtes vous? Pourquoi prenez-vous l'identité d'une défunte?''
Que c'est donc macabre tout ce cirque!
La conclusion de tout cela est que la panique règne dans le camp Mabanckou. Et sans le savoir, ils sont encore en train de me fournir des munitions pour les éradiquer à tout jamais. Qui vivra, verra.
Mountaga Fané Kantéka