lundi 25 février 2008

LA CONTREFAÇON À LA QUÉBÉCOISE: SOURNOISE ET SUIVIE D'INTIMIDATION

Cet article se veut bref et allusif, pour des raisons qu’on saura peut-être un peu plus tard si jamais l’affaire venait à éclater au grand jour…
L’une des causes essentielles de la contrefaçon, c’est la volonté de faire de l’argent en mettant sur pied une INDUSTRIE qu’on est tenu d’alimenter régulièrement. Et c’est cette OBLIGATION DE LIVRAISON RÉGULIÈRE qui pousse fatalement à la contrefaçon. Quand on ne peut pas livrer la marchandise, on se rabat sur le travail des autres, en essayant de prendre des précautions plus ou moins heureuses, dont l’humour ou la dérision. Malgré toutes ces précautions, l’auteur spolié reconnaît toujours le ou les passages qu’on lui a dérobé (s). Un auteur est comme une MÈRE QUI ACCOUCHE D’UN ENFANT. Les autres peuvent se tromper sur son enfant, mais pas la mère. Elle sentira l’ODEUR DE SON REJETON à des kilomètres à la ronde, peu importe les moyens employés pour le travestir. ET ELLE NE MANQUERA JAMAIS DE MOYENS DE PROUVER SA MATERNITÉ…

La CONTREFAÇON LITTÉRAIRE ET/OU ARTISTIQUE n’est pas seulement un phénomène répandu en Europe. Elle l’est ici aussi au QUÉBEC. Bien que MULTIFORME, elle se veut plus RAMPANTE et cible des VICTIMES EN ÉTAT DE PRÉCARITÉ, en s’accompagnant de MANŒUVRES INTIMIDANTES, visant à LES RIDICULISER sur la place publique, d’une façon qui se veut subtile, ou à essayer de leur brandir des MENACES IMPLICITES, touchant à leur SURVIE.... Le but étant effectivement de DÉCOURAGER LEUR VOLONTÉ DE POURSUITE JUDICIAIRE. En prenant ainsi LES DEVANTS, ces « grands messieurs » essaient de DISCRÉDITER LEURS PROIE et PRÉPARER L’OPINION PUBLIQUE à leur jeter l’OPPROBRE. Et comme ils sont très SOLIDAIRES entre eux dans ce milieu, il faut être assez aguerri pour ne pas succomber à leur ESBROUFE…

Je vais y aller avec QUELQUES QUESTIONS SUBTILES moi aussi, en prenant un EXEMPLE moins « visible » et moins identifiable pour les non-initiés, parce que LE MOMENT N’EST PAS ENCORE VENU DE CREVER TOTALEMENT L’ABCÈS :
Que faire quand on entend des extraits de son ouvrage sur quelques ONDES DE GRANDE AUDIENCE? Et à plusieurs reprises? D’abord AVANT LA PUBLICATION de l’ouvrage en question, et ensuite, APRÈS sa publication. COMMENT LE RÉALISATEUR D’UNE ÉMISSION A PU AVOIR ACCÈS À CET OUVRAGE AVANT SA PUBLICATION? L’a-t-il eu par l’intermédiaire d’un malveillant qui se faisait passer pour un ami de la proie en lui dérobant « subtilement » son ouvrage, lors de l’impression???
ET POURQUOI CE RÉALISATEUR DÉCIDE JUSTEMENT DE CHOISIR DES PASSAGES PARTICULIÈREMENT TRAGIQUES DONT LE SOUVENIR EST ENCORE VIVACE CHEZ L’AUTEUR SPOLIÉ? Notamment le SUICIDE D’UN ÊTRE CHER, travesti en scène comique... Est-ce un MOYEN AUSSI LÂCHE QUE CYNIQUE de fragiliser davantage psychologiquement la proie? CE VÉREUX RÉALISATEUR SAIT-IL QU’UNE ŒUVRE EST PROTÉGÉE, MÊME AVANT SA PUBLICATION???
Et que faire quand ce même réalisateur RÉCIDIVE récemment (la veille) en combinant un passage de ce même livre avec plusieurs articles (publiés sur le net) de cette même proie, pour faire un AMALGAME DE SES ÉLÉMENTS-CLÉS (dénonciation de l’incitation à la guerre, dérives journalistiques, homme bleu, connotation raciale, chronique historique…) et de les diffuser de MANIÈRE ALLÉGORIQUE, en donnant le MAUVAIS RÔLE À L’AUTEUR? ET EN INSISTANT POUR QU’IL SACHE QUE C’EST BIEN LUI DONT IL EST QUESTION…

JURIDIQUEMENT, on se trouve avec une situation de CONTREFAÇONS suivies de DIFFAMATION, de HARCÈLEMENT MORAL, d’INTIMIDATION et d’ABUS DE POUVOIR. Et bien d’autres chefs d’accusation… Et la PREUVE peut se faire par TOUS MOYENS…

Ceci pour prévenir ces « grosses légumes » qui se croient intouchables parce qu’ils travaillent avec de GRANDS GROUPES qu’il y a des LIMITES. Il ne faut pas qu’ils misent trop sur les manœuvres visant à FAIRE PASSER LEURS PROIES POUR DES PARANOÏAQUES ou des FARFELUS. Parce que c’est un des moyens qu’un certain MABANCKOU avait essayé d’utiliser pour nier ou banaliser ses contrefaçons. Et la MAIN DU DESTIN s’est abattue sur lui avec une telle force et un tel fracas qu’on a trouvé une photo immortalisant son grossier mensonge. Aujourd’hui, ses complices et protecteurs en sont à trafiquer avec les juges pour limiter les dégâts et pour lui faire porter le chapeau à lui, tout seul…
Ceci pour dire que la LIBERTÉ D’EXPRESSION n’appartient pas seulement aux plus « forts ». Les plus « faibles » y ont droit aussi. Ce n’est pas parce qu’on n’est pas un QUÉBÉCOIS « PURE LAINE », qu’on n’a pas droit à la parole. Et ce n’est pas non plus parce qu’on est en situation de précarité qu’on peut se faire « crosser », en faisant PASSER CETTE FILOUTERIE AVEC LE BAUME DE L’HUMOUR OU DE LA DÉRISION. CE N’EN EST PAS MOINS UNE CONTREFAÇON…

Un proverbe mandingue dit qu’EN ACCULANT LA CHÈVRE, ELLE FINIT PAR VOUS MORDRE. Au demeurant, IL FAUT QUE CES MESSIEURS SACHENT QUE LEURS MÉTHODES SONT CONNUES DES ENQUÊTEURS EN LA MATIÈRE…

JE PENSE M’ÊTRE FAIT COMPRENDRE. Je n’ai pas l’habitude de m’exprimer en LANGUE DE BOIS. Mais, chaque combat en son temps. Je finirai par cet adage: Que celui qui se sent morveux se MOUCHE. Ou encore : que celui qui se sent concerné porte le CHAPEAU. Le CHAPEAU de la contrefaçon suivie de harcèlement moral.
Et s’il persiste, malgré cette mise en garde, je vais lui faire porter pour de bon le CHAPEAU de la honte et de l’infamie qui sied à sa petite tête de XÉNOPHOBE qui refuse de s’assumer. Je vais lui donner LA CLAQUE de sa vie. LA CLAQUE suivie de FLAQUE d’eau. Et de DÉFLATION de LA FLAQUE D’EAU. Parce que, je vais le POURSUIVRE, preuves à l’appui. ET AVEC LUI, VA TOMBER LE
« POLITICARD » qui, s’étant accaparé mon œuvre de la manière la plus sournoise qui soit, L’A MISE À SA DISPOSITION AVANT PUBLICATION… Ils vont être deux à porter le CHAPEAU…

UN PROCÈS EST ENCORE PLUS FACILE À MENER ÉTANT ICI AU QUÉBEC qu’en France, à 6000 km de distance… Ces véreux personnages sauront que dans la vie, l’argent n’est pas tout, que le savoir est souvent plus précieux que le fric… Et JE ME MOQUE DES REPRÉSAILLES… J’AI AUSSI MES MOYENS DE DIFFUSION, comme ces messieurs peuvent le constater… À BONS ENTENDEURS…

MOUNTAGA FANÉ KANTÉKA
JURISTE, ÉCRIVAIN-POÈTE ET JOURNALISTE D’INVESTIGATION