mercredi 13 février 2008

AFFAIRE SEUIL / MABANCKOU: LA SAGA DE LA DÉRIVE JUDICIAIRE CONTINUE

Du nouveau dans l'affaire Seuil /Mabanckou? Oui et non! La nouveauté, c'est le désistement de la très honorable Nathalie Dutartre (après celui de son supérieur hiérarchique) au profit d'un autre Vice-Doyen, un certain PATRICK GACHON. (Il y a donc combien de vice-doyens payés à ne rien faire au niveau du TGI de Paris?) Ce ''nouveau venu'', PATRICK GACHON, s'abstient de me lancer des messages ésotériques, et a même la '' courtoisie'' de m'adresser une lettre avec accusé de réception, persistant dans la manie à me narguer avec cette incompétence mêlée de corruption. À en croire que ces juges français jubilent à l'idée d'avoir sous leurs griffes, une autre victime à sacrifier sur l'autel de la déchéance. J'ai franchement la nette impression qu'on est en train de perpétrer sur ma personne un SACRIFICE HUMAIN. S'ABREUVER DE MON SANG POUR SE DONNER UNE VIE QUI A DÉSERTÉ DE LEUR EXISTENCE. APRÈS LE CANNIBALISME LITTÉRAIRE, LE CANNIBALISME JUDICIAIRE! ET APRÈS, ON A LE CULOT DE DIRE QUE CE SONT LES NÈGRES QUI SONT SAUVAGES!

Mais, à s'obstiner à croire qu'on est doué d'omnipotence, on finit par s'embrocher soi-même, sans même s'en rendre compte. Un adage mandingue dit que c'est le fer qui coupe le fer. C'est cela que j'ai fait comprendre à ce troisième larron, en lui prédisant que lui et ses deux compères trouveront bientôt sur leur chemin d'autres FRANCS-MAÇONS qui sont restés imperméables au virus de la corruption. Constatez par vous-mêmes ce dialogue d'initiés.

4E LETTRE DE PRÉCISION AU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS

Montréal, mardi 13 février 2008

Plaignant :

Mountaga Fané Kantéka,

Montréal, Canada

N/REF : Dossier no 07/1080
No du Parquet : P. 07. 355. 2303 / 8

À monsieur PATRICK GACHON
Vice-Doyen des Juges d’instruction
du Tribunal de Grande Instance de Paris
4, Boulevard du Palais 75055 Paris RP

Objet : ACCUSATION DE PROVOCATION, DÉNI DE JUSTICE ET FAUX EN ÉCRITURE CONTRE LE TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS

Monsieur Gachon,

Je viens de recevoir votre courrier daté du 7 février 2008, m’invitant à verser une consignation de 500 euros et persistant dans la DÉNATURATION de ma plainte avec constitution de partie civile. Je vous répète pour la 4e fois ce que j’ai déjà précisé à vos deux prédécesseurs, l’anonyme Doyen des juges d’instruction et le Vice-Doyen Nathalie Dutartre.
Ma plainte avec constitution de partie civile, assortie de DOUZE CHEFS D’ACCUSATION DONT DES CRIMES, EST VALABLE AU SENS DE L’ALINÉA 2 DE L’ART 85 DU CODE DE PROCÉDURE PÉNALE. En continuant à l’ignorer à l’instar de vos deux collègues, Monsieur Gachon, vous persistez dans la violation de plusieurs textes de loi :

- L’alinéa 2 de L’ART 85 DU CODE DE PROCÉDURE PÉNALE qui m’exempte de la fourniture de l’avis de classement de ma plainte par le Parquet et du récépissé précédant d’au moins 3 mois la plainte avec constitution de partie civile :

- L’ARTICLE 6 DE LA CONVENTION EUROPÉENNE de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales qui garantit à tous le droit d’accès à un tribunal, à une juridiction impartiale et à un procès équitable.

C’est incontestablement un DÉNI DE JUSTICE prévu par L’ARTICLE 4 DU CODE CIVIL. C’est aussi du FAUX EN ÉCRITURE; de la SUBORNATION prévue par L’ARTICLE 434-15 DU CODE PÉNAL; de l’ESCROQUERIE, définie par 313-1 du CODE PÉNAL.
Persistant dans la ligne tracée par vos deux collègues de travail, vous vous conduisez en véritable HORS-LA-LOI, pour les raisons déjà soulignées. Je vous demande encore pour la dernière fois, D’ARRÊTER LA PROVOCATION et de VOUS DESSAISIR DE MON DOSSIER ET DE LE TRANSMETTRE AU PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE. IL NE SERT À RIEN DE CONTINUER À ME PERSÉCUTER. Soyez sûrs que d’une manière ou d’une autre, JUSTICE SERA FAITE. Vous vous croyez forts et au dessus de la loi, convaincus que personne ne pourra vous atteindre en France. SACHEZ QUE CE COMBAT N’EST PAS SEULEMENT LE MIEN, MAIS DE TOUS LES JUSTICIABLES FRANÇAIS BRIMÉS PAR UNE MACHINE QUI A TOTALEMENT DÉRAILLÉ, ET QUI ACCUMULE SCANDALES SUR SCANDALES. IL N’Y A QU’À CONSULTER LES ARCHIVES SUR INTERNET POUR SE RENDRE COMPTE DE L’AMPLEUR DU DÉSASTRE.
Monsieur Gachon, soyez sûr que vous ne réussirez pas à m’avaler. Je sais qui vous êtes, d’où vous venez et où vous vous en allez. Je connais l’origine du groupe que vous servez. Je connais son mode de fonctionnement et ses contradictions internes. Chaque organisation a ses justiciers et ses brebis galeuses.
IL Y A ENCORE – en France - DES FRANCS-MAÇONS habités par L’IDÉAL DE JUSTICE. IL NE SAURAIT EN ÊTRE AUTREMENT, SINON CETTE ORGANISATION S’EFFONDRERAIT. SANS L’ÉQUILIBRE, AUCUN SYSTÈME NE SURVIVRAIT…

MONSIEUR GACHON, MADAME DUTARTRE, MONSIEUR LE DOYEN ANONYME, VOUS TROUVEREZ SUR VOTRE CHEMIN D’AUTRES ADVERSAIRES QUE MOI. LE VENT QUI S’EST LEVÉ EST LÀ POUR RESTER. LA FRANCE A PRIS UN SENTIER DANGEREUX QUI LA DIRIGE DROIT À SA PERTE. QUAND UN PAYS EST À SON CRÉPUSCULE, IL ENGENDRE DES DÉCIDEURS ET DES ARBITRES QUI S’ACHERNERONT À LUI DONNER LE COUP DE GRÂCE. ET SI RIEN N’EST FAIT, CETTE ANNÉE 2008 VERRA PLEUVOIR SUR LA FRANCE DES CHOSES OUBLIÉES DE LA MÉMOIRE COLLECTIVE. CELA COMMENCERA AVEC LA TÊTE ET DESCENDRA PAR LE CORPS JUSQU’AUX PIEDS…
Monsieur Gachon, je vous envoie cette lettre en ce mercredi 13 février de l’an 2008, quelques heures après l’avoir reçue. Je l’envoie en courrier régulier et l’affiche sur mon site (http://www.kanteka.blogspot.com/ ) en indiquant l’heure à laquelle elle a été envoyée.
Monsieur Gachon, sachez-le, vous et vos semblables me faites beaucoup de peine. J’ai étudié le même DROIT que vous en France et j’ai eu d’éminents professeurs comme ROGER MERLE (à Toulouse) et ANDRÉ VITU (à Strasbourg), auteurs du célèbre TRAITÉ DE DROIT CRIMINEL. ET LA PHILOSOPHIE QUE CES ÉMINENTS THÉORICIENS DU DROIT NOUS ONT INCULQUÉE EST AUX ANTIPODES DE LA BASSESSE DONT VOUS FAITES MONTRE, RICANANT SOUS CAPE, FORT DE VOTRE POUVOIR INUTILE. À VOTRE PLACE, JE RENONCERAIS À LA ROBE. QUAND UN JUGE N’EST PLUS LIBRE DE SES DÉCISIONS ET DEVIENT UN ESCLAVE AU SERVICE DE LA PÈGRE (PEU IMPORTE L’APPELATION QUE PREND CETTE PÈGRE), C’EST ENCORE PLUS PITOYABLE QU’UN CRIMINEL DE DROIT COMMUN. Je finirais avec cette formule dans ma langue maternelle :

M’bara dougou bali
Ka dougoutigui bali
Ka massa bali
Ka massa makönö bali
Nyè ya yé
Da ti sa föla
.

Cette formule pour conjurer le sceptre et le spectre de la malice dirigés contre moi et mon honneur. Que la gâchette du revolver du bourreau Gachon, braqué sur mon cœur, s’enraye pour l’Éternité. Que son virus ne trouve nul orifice dans mes pores. Que son venin se transmute en miel sur ma peau douce. Que les ténèbres de son coeur s’éclairent de la présence d’Amon-Ra. Que la lumière de la justice céleste s’insinue dans son esprit obnubilé. Que les morts volent au secours des vivants. Que la sagesse des Pères initiateurs triomphe de l’arrogance des Fils ingrats et oublieux. A föra, a men na, a djabi ra!

MOUNTAGA FANÉ KANTÉKA
JURISTE, ÉCRIVAIN ET JOURNALISTE D’INVESTIGATION

Cette lettre a été postée, à Montréal, LE MERCREDI 13 FÉVRIER 2008 à 16:02:25

POUR DES INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES SUR CETTE JUSTICE CORROMPUE, VOUS POUVEZ CONSULTER DES ARTICLES DE CHRISTIAN COTTEN SUR:
www.echosdesmontagnes.blogspot.com ou http://www.politiquedevie.net/