© Copyright 2008, Mountaga Fané Kantéka
« Ils étaient lâches. Ici au cœur de New-York, ils continuaient cette race de bourreaux que je connaissais bien : elle était partout, à Varsovie, à Zambrow, à Zaremby, elle prenait le masque d’un SS, d’un maire de village polonais, d’un colonel soviétique, de ce boucher voleur… Avec eux, quels qu’ils soient, ce devait être toujours la guerre. Une frontière passait au sein de chaque ville, partout, au cœur de chaque peuple, elle séparait les hommes des bourreaux. »
Martin Gray, AU NOM DE TOUS LES MIENS
Rescapé de guerre et d’extermination, Martin Gray, après bien de péripéties entre la Pologne et Berlin (vaincu par l’Armée Rouge stalinienne) s’était exilé aux États-Unis pour retrouver les seuls parents qui lui restaient ( une vieille grand-mère et un oncle). Et surtout dans l’espoir de jouir d’un peu de paix. Sitôt installé dans ce Nouveau Monde, il se rendit compte qu’il retrouvait les mêmes bourreaux qu’il avait laissés derrière lui en Europe, parmi lesquels on comptait des ALLEMANDS HITLÉRIENS, des POLONAIS, des UKRAINIENS, des LETTONS, des LITHUANIENS, des SOLDATS RUSSES (pourtant libérateurs), et aussi des… JUIFS… comme lui. Des BOURREAUX AUX « YEUX BLANCS » pour reprendre sa propre expression. Et c’est cette même RACE DE BOURREAUX qu’il retrouvait dans son nouvel univers d’Amérique du Nord. Comme quoi le BOURREAU n’a ni pays, ni couleur, ni religion, ni ethnie, ni sexe spécifiques. Le BOURREAU se dévoile aussi bien dans des situations de guerre que dans des contextes de paix où il n’a de cesse de créer des troubles. Le BOURREAU se cache aussi bien dans les régimes totalitaires que démocratiques. Il y a aussi bien le BOURREAU DE GAUCHE que le BOURREAU DE DROITE. On retrouve le BOURREAU dans toutes les sphères de la vie quotidienne… Mieux que tout cela, le BOURREAU se révèle souvent être la VICTIME D’HIER qui, sitôt délivrée des chaînes de la servitude et de l’oppression, s’empresse de rejoindre la horde des Tortionnaires et des Exploiteurs, confirmant ainsi la légendaire réflexion de THOMAS HOBBES : « L’homme est un loup pour l’homme ». Ceci explique en grande partie l’ÉCHEC DES RÉVOLUTIONS SOCIALES.
DIABLE À FACE HUMAINE, usant de tous les artifices relevant du GÉNIE DU DIABLE, pour jouir de tous les délices terrestres (y compris celui du pouvoir), le bonheur du BOURREAU n’est que dans le malheur des autres. MENTEUR IMPÉNITENT, tout devient idéologie dans la bouche du BOURREAU: Histoire, religion, culture, « race », politique, origine, droit, etc. TOUT EST CONTREFAÇON chez le BOURREAU. Sa bouche et son esprit sont hostiles à la vérité. Se réclamant des malheurs qu’il n’a point vécus, tout lui sert de FONDS DE COMMERCE. ANCÊTRES et PASSÉ deviennent alors PRÉTEXTES pour torturer et subtiliser des profits pour ses AMBITIONS DU PRÉSENT, n’ayant cure pour l’avenir. Quitte à usurper les Ancêtres et le passé d’autrui. Ainsi sont désignés le BOURREAU JUIF («JUIF ARYEN» brandissant le spectre de l’antisémitisme sans pourtant être un «sémite») et le BOURREAU NÈGRE (culpabilisant avec l’esclavage tout en étant de la pire engeance esclavagiste), deux SPÉCIMENS qui feront l’objet d’un ARTICLE SPÉCIAL. Voulant à la fois jouir des privilèges de victime et de bourreau, profiter du beurre et de l’argent du beurre, le BOURREAU À DOUBLE TÊTES pleure sans cesse sur les « injustices » qu’il subit tout en étant d’une injustice suprême. Tout ce qui compte pour le BOURREAU c’est lui et ses mesquins intérêts. Peuple, nation, «race», pays, secte, parti, etc, ne sont pour le BOURREAU DÉMAGOGUE que d’autres ALIBIS pour arriver à ses fins et satisfaire son ÉGO MALADE. Et quand le bourreau parle de «droits des minorités», c’est à sa petite personne qu’il pense, ne concevant d’autre «minorité» que celle gravitant autour de son nombril hypertrophié. Et il ne s’associe guère que pour son propre intérêt. La NOTION DE «PEUPLE ÉLU» est bien un CONCEPT DE BOURREAU qui se croit élu pour toutes les bonnes choses terrestres. CIORAN le rappelle dans cette sublime réflexion: « N’IMPORTE QUEL PEUPLE, À UN CERTAIN MOMENT DE SA CARRIÈRE, SE CROIT ÉLU. C’EST ALORS QU’IL DONNE LE MEILLEUR ET LE PIRE DE LUI-MÊME. »
DIEU lui-même devient BOURREAU dans la bouche du BOURREAU : le BOURREAU DES TEMPLES relayé par le BOURREAU POLITIQUE et le BOURREAU DE LA PROPAGANDE… STADE LE PLUS ÉVOLUÉ de la CANAILLE NIETZSCHÉENNE, là où se trouve le BOURREAU se trouve le MEURTRE… Le MEURTRE DE DIEU ET DE L’HOMME…
LES RAISONS D’UNE NÉVROSE : DU COMPLEXE PHYSIQUE AU DÉSORDRE SEXUEL
« Tous nos actes sont provoqués par deux désirs fondamentaux: le désir sexuel et le désir d’être reconnu » (SIGMUND FREUD, rapporté par DALE CARNEGIE)
À la lumière de ce constat, il va de soi que l’ENTRAVE à l’un de ses deux grands désirs (instincts) peut avoir un impact néfaste sur le comportement d’un individu. Et ceci peut expliquer pourquoi certains nantis (possédant à la fois l’argent et le pouvoir) se retrouvent quand même sous le manteau du bourreau. Ayant satisfait leur instinct de grandeur et de gloire, ils demeurent frustrés par l’inassouvissement de l’instinct sexuel pour des raisons de SANTÉ PHYSIQUE débouchant sur des problèmes de SANTÉ MENTALE. Parce que l’état de Bourreau, il ne faut pas s’en cacher, est nécessairement symptomatique d’un profond malaise. Aucun homme sain d’esprit ne peut se complaire à créer autant de souffrances autour de lui. Il faut soi-même souffrir de la façon la plus atroce pour jouir de la souffrance d’autrui. Le plus grand plaisir du Bourreau se trouve justement dans la TORTURE qu’il inflige aux autres. C’est là que réside SON PLUS GRAND GÉNIE : inventer chaque jour de NOUVELLES MANIÈRES DE TORTURES de plus en plus raffinées. Une antique sagesse populaire professe : « MENS SANA IN CORPORE SANO. ESPRIT SAIN DANS UN CORPS SAIN. » Une façon euphémiste de dire qu’UN CORPS MALADE NE PEUT GÉNÉRER UN ESPRIT SAIN. Bien de haine trouve leur motivation dans la frustration physique. La RACIALISATION DU LANGAGE elle-même traduit ce MALAISE ÉPIDERMIQUE au niveau d’individus visiblement très mal dans leur peau (au propre et au figuré), croyant exorciser leur COMPLEXE ÉPIDERMIQUE avec le DÉTOURNEMENT SÉMANTIQUE. Ainsi, le BOURREAU DE LA CARICATURE au VISAGE PÂLE veut se persuader d’une fictive supériorité « raciale », en accablant le mot « NOIR » de toutes les charges négatives terrestres, espérant, avec cet artifice, donner des vertus miraculeuses à sa PEAU PÂLE (dont il souffre atrocement) au détriment de la PEAU FONCÉE (qu’il envie ardemment). Toute une civilisation s’est ainsi bâtie autour de cette TRAGÉDIE PHYSIQUE, faisant des MOTS les complices d’une TÉNACE MALADIE devenue PSYCHOSOMATIQUE par la force des choses. Le BOURREAU DU LANGAGE est encore PLUS NOCIF que le BOURREAU À LA MITRAILLETTE...
Sur un autre registre, l’histoire nous apprend que certains des plus GRANDS TYRANS (ou conquérants) étaient souvent handicapés par un PHYSIQUE DISGRACIEUX (petite taille ou autre tare esthétique) pouvant expliquer leur ARDEUR À LA DOMINATION. Ainsi, THOUTMÔSIS III de l’Empire égyptien, l’un des premiers SONJATA alias FAKOLI de l’Empire manding, NAPOLÉON de l’Empire colonial français, HITLER de l’Allemagne nazie, et plus récemment SARKOZY de la France néocoloniale et BONGO du Gabon — tous des PETITS HOMMES par la taille —, sont de parfaites illustrations de ce COMPLEXE PHYSIQUE communément appelé le « COMPLEXE DU PETIT ». L’AVÈNEMENT D’UN PETIT BONHOMME AU POUVOIR ne se fait pas souvent sans HEURTS et sans TRAGÉDIES HUMAINES. Selon la façon qu’il choisit de se faire valoir, le monde est exposé à des dangers plus ou moins grands. Il faut surtout veiller à ne pas lui laisser de grande marge de manœuvre, sans quoi il risquerait de briser le monde… Le danger est plus imminent quand ce handicap physique se dédouble de l’IMPOTENCE SEXUELLE qui n’épargne pas même les tyrans de grande taille dont W. BUSH pourrait être un spécimen caché…
Bien plus qu’un simple problème physique, l’INHIBITION SEXUELLE est un drame qui dépouille l’individu de sa raison d’être et le place en deçà de l’animal. Un homme ou une femme qui ne peut satisfaire, malgré ses privilèges, la PULSION VITALE qu’est le désir sexuel, a tendance à devenir une BÊTE FÉROCE pour ses semblables. Les bourreaux se recrutent souvent chez les IMPUISSANTS SEXUELS, les ÉJACULATEURS PRÉCOCES, les PISSEURS DE SANG, les AGRESSEURS SEXUELS (pareils aux soldats qui violent les femmes en tant de guerre), les HOMOSEXUELS REFOULÉS ou NON ASSUMÉS, les FEMMES FRIGIDES, AMANTES INSATISFAITES ou les FEMMES DÉSERTÉES PAR L’INSTINCT MATERNEL (nourrissant une haine secrète contre l’espèce féminine), occupant des POSTES DE DÉCISION OU D’INFLUENCE (justice, police, administration, milieu d’affaires, médias, etc.). AFFAMEURS EN PUISSANCE et FOMENTATEURS DE GUERRES ET DE CRISES (alimentaire, humanitaire, boursière, politique), aucun privilège terrestre ne peut les guérir de l’AMERTUME DU SEVRAGE SEXUEL, malgré le recours aux moyens les plus inusités… Les mécaniques détraquées pour qui la saine jouissance sexuelle demeure à jamais le « fruit défendu » portent sur la conscience les plus grandes tragédies humaines. Leurs instincts sexuels inassouvis ou brimés ont fait de ce monde un ÉTERNEL TREBLINKA… L’ENFER généré par leur GAZ À EFFETS DE SERRE a transmué le paradis terrestre en UNIVERS ASTHMATIQUE… Les SÉCRÉTIONS engendrées par leur FRÉNÉSIE COMPENSATRICE sont aussi toxiques que le GAZ DES CAMPS DE CONCENTRATION HITLÉRIENS…
Et le malheur veut que ce soit à eux qu’il échoit souvent de parler de… DROITS DE L’HOMME… « Fasse Dieu que notre ennemi ne devienne pas notre témoin devant la Justice. », préconise un proverbe du Manden.
LE BOURREAU ET LE VERROUILLAGE SYSTÉMIQUE
« LA PIRE FORME DE DESPOTISME EST LE SYSTÈME…»
E.M CIORAN
Être BOURREAU et ÉCHAPPER À LA JUSTICE ne peut se concevoir que si la Justice en question est AU SERVICE DU BOURREAU, faite par le bourreau et selon les INTÉRÊTS DU BOURREAU. Le SYSTÈME JUDICIAIRE est pour le bourreau ce qu’est l’eau pour le poisson. Il y baigne dans son élément. L’état de bourreau ne se conçoit pas sans UNIFORME . L’UNIFORME du POLICIER ou du MILITAIRE, la TOGE du MAGISTRAT ou de l’AVOCAT, le COSTUME-CRAVATE du DÉPUTÉ ou du CRIMINEL À COL BLANC des marchés boursiers, etc, sont des MASQUES DE PRÉDILECTION du BOURREAU. Le REFUGE PARLEMENTAIRE où se joue le SORT DES POPULATIONS sert aussi de BUNKER au bourreau… C’est du CRIME ORGANISÉ ÉTATIQUE. Malheur à qui tombe dans les DÉDALES de ce MARCHÉ DE DUPES!
Quand GISCARD disait que « FAIRE LA POLITIQUE, C’EST SE SALIR LES MAINS », il ne faisait que traduire cette réalité. Le Système est verrouillé de telle sorte que le BOURREAU ne lâche son semblable que si ce dernier représente un RISQUE POUR LE SYSTÈME. Celui-ci fait alors l’objet d’un SACRIFICE HUMAIN pour apaiser la colère divine. Son SANG est alors VERSÉ SUR LA PLACE PUBLIQUE. Tout un FESTIN PUBLIC auquel est conviée la grande masse des écrasés profitant de l’occasion pour se laisser aller à la berceuse de l’ILLUSION DÉMOCRATIQUE… ÉTOUFFER LES AFFAIRES rentre plus dans l’attribution du Système que les régler. En FRANCE, c’est notamment le JUGE D’INSTRUCTION qui viole les lois comme il violerait une femme ou un homme. Au CANADA, c’est souvent le SIMPLE AGENT DE POLICE qui pousse la démesure jusqu’à vouloir se substituer au juge… C’est ce MÊME SYSTÈME D’INJUSTICE que le bourreau TRANSPOSE AU PLAN INTERNATIONAL en allant affamer des peuples chez eux, tout en les humiliant avec des discours d’« AIDES HUMANITAIRES ». Si le bourreau est si préoccupé à « aider » les autres, s’il se veut si « humain », qu’il commence d’abord par son propre pays où tout roule à deux vitesses : la JUSTICE À DEUX VITESSES, la SANTÉ À DEUX VITESSES, le TRAVAIL À DEUX VITESSES, les SUBVENTIONS À DEUX VITESSES, les DISCOURS À DEUX VITESSES, etc.
Pourtant, jusqu’à présent aucun bourreau de ces « démocraties » n’a été traduit devant la COUR PÉNALE INTERNATIONALE pour CRIME CONTRE L’HUMANITÉ…
LE BOURREAU DE L’ESPIONNAGE
« METTRE QUELQU’UN SUR ÉCOUTE ÉLECTRONIQUE, C’EST PIRE QUE VIOLER UNE FEMME » (confidence d’une Femme de loi)
AUCUN CRIME, en vérité, NE DEMEURE IMPUNI. Ce n’est pas l'institution mise en place par le bourreau lui-même qui peut infliger un châtiment au BOURREAU. Son véritable CHÂTIMENT, il le porte en lui : la PEUR CONSTANTE qui l’habite. Le bourreau est TOUT SAUF UN ÊTRE SEREIN. Il SAIT CE QU’IL FAIT AUX AUTRES et SAIT CE QUI L’ATTEND le jour où il n’aura plus le contrôle de la situation. Il sait le PÉRIL qui le guette le jour où il tombera ENTRE LES GRIFFES DE CEUX QU’IL A DAMNÉS par ses VIOLS et ses SODOMIES. C’est pourquoi, à ses innombrables tares, le bourreau ajoute un COMPLEXE DE DÉPENDANCE qui, au nom d’une OBSCURE « RAISON D’ÉTAT », s’en va FARFOUILLER DANS L’INTIMITÉ DES GENS par des ÉCOUTES ÉLECTRONIQUES et des FILATURES qui trahissent une fois de plus son OBSESSION SEXUELLE. Pas un pas, pas un pet ou un éternuement, sans qu’un AGENT DU BOURREAU soit sur ton dos, comme un PÉDÉRASTE CLANDESTIN en quête d’un ANUS À VIOLER ou d’une QUEUE À SUCER. Comme une FEMME POSSESSIVE ET ANXIEUSE, le bourreau est CONSTAMMENT AGRIPPÉ AUX MOINDRES FAITS ET GESTES DE SES PROIES, voulant coûte que coûte avoir une mainmise sur elles, voulant sans cesse les prendre en faute pour mieux les tenir. Il se veut un BRISEUR DE DESTIN, n’ayant lui-même AUCUN CONTRÔLE SUR SON PROPRE DESTIN, ne sachant ni quand ni comment il va périr.
N’ayant jamais la conscience tranquille ni le sommeil pépère, il est toujours aux aguets d’un SURSAUT DE RÉVOLTE POPULAIRE et invente pour cela des HISTOIRES DE TERRORISTES À DORMIR DEBOUT, anticipant sur ses propres propensions aux agressions terroristes. N’hésitant pas à COMPLOTER CONTRE SON PROPRE PAYS… Le TERRORISME est lui-même une INVENTION DE BOURREAUX, depuis les temps les plus reculés. Des ARMES À DESTRUCTION MASSIVE aux ARMES BACTÉRIOLOGIQUES dont le SIDA, sans oublier l’ARME ALIMENTAIRE (crises alimentaires créées de toutes pièces), tout est bon pour le bourreau pour AFFAIBLIR SES PROIES.
Et c’est PARCE QU’IL A TOUJOURS PEUR que LE BOURREAU VEUT FAIRE PEUR. Il est constamment dans l’état, décrit par LUIS SEPULVEDA, du CHASSEUR transpirant L’ODEUR DE LA PEUR et de SEXE EN ÉRECTION. Et c’est pour cela que le bourreau a TOUJOURS UN TUEUR À PORTÉE DE LA MAIN… Les ASSASSINATS POLITIQUES et les autres TUERIES DÉGUISÉES en ACCIDENT DE VOITURE, en SUICIDE ou en BAVURES MÉDICALES OU POLICIÈRES, voilà quelques unes des SPÉCIALITÉS DU BOURREAU…
Pas de mal sans remède. S’il est impossible d’éradiquer la race de Bourreaux, on peut l’affaiblir, parce que le Bourreau a lui aussi son ANTIDOTE : le DÉMASQUER et le CIBLER. IDENTIFIER ET NOMMER tous SES CRIMES. Après cela, le nommer sous TOUS SES NOMS, ses multiples MÉTAMORPHOSES et RÉINCARNATIONS, ses TOTEMS. Remonter sa GÉNÉALOGIE et identifier le GÉNIE MALÉFIQUE qui lui tient lieu d’ANCÊTRE ainsi que la PLANÈTE d’où il descend. Lui rappeler constamment qu’il est un INTRUS… Quand vous n’avez pas cette SCIENCE, laissez faire le TEMPS, parce que LE BOURREAU FINIT TOUJOURS PAR PAYER… ET S’IL Y ÉCHAPPE, SES ENFANTS N’Y ÉCHAPPERONT PAS…
BOURREAU… JE TE CONNAIS… DEPUIS LES TEMPS IMMÉMORIAUX… Je connais le VRAI NOM DE TON VRAI PÈRE ET DE TA VRAIE MÈRE… Je sais D’OÙ TU VIENS et OÙ TU VAS CHOIR… Je sais DE QUELLE RACE DE SERPENT TU DESCENDS, je sais la NATURE DU VENIN QUE TU PORTES EN TOI… Je sais aussi le SERPENT QUI PEUT T’ENGLOUTIR… Ma GUERRE contre toi n’a pas commencé aujourd’hui. Jadis, j’ai perdu un ŒIL dans la bataille qui m’a opposé à TON PÈRE quand j’essayais de venger le MEURTRE DE MON PÈRE… L’ŒIL qui m’est resté est plus fort et plus vigilant que jamais… Et mon ŒIL aura raison de toi et de tes enfants. Les PÉRILS que tu fais planer sur les enfants des autres SE MATÉRIALISERONT SUR LA TÊTE DE TES PROPRES ENFANTS…
À notre PROCHAINE RENCONTRE, ce n’est pas moi que tu trouveras sur ton chemin, mais… LE GRAND-SERPENT-QUI-FAIT-LE-TOUR-DU-PAYS, LE GRAND-SERPENT-QUI-FAIT-LE-TOUR-DU-MONDE, LE GRAND-SERPENT-QUI-VOLE-AU-DESSUS-DE-LA-VILLE, LE GRAND-SERPENT-QUI-AVALE–TOUS-LES-AUTRES-SERPENTS, LE GRAND-SERPENT-TUEUR-DE-BOURREAU, LE GRAND-SERPENT-CRACHEUR-DE-FEU… À bientôt Bourreau de malheur! Mon INDEX GAUCHE est POINTÉ sur TOI et ta CLIQUE…
MOUNTAGA FANÉ KANTÉKA
INVESTIGATEUR D’OUTRE-MONDE
INVESTIGATEUR D’OUTRE-MONDE