dimanche 22 mai 2022

ENTRE HOMOPHOBIE ET VIOLENCE HOMOSEXUELLE

 


La polémique autour du footballeur sénégalais, Idrissa Guèye qui, dit-on, a refusé de porter le maillot arc-en-ciel pour soutenir la cause LGBTQ, soulève une question sulfureuse. On ne parle que d’une seule facette du problème: l’HOMOPHOBIE. En oubliant l’autre aspect qui est la tendance à vouloir imposer la TYRANNIE HOMOSEXUELLE au monde entier.
 
C’est une question qui me tient en haleine depuis plus d’un an et qui m’a valu l’écriture d’un livre de deux tomes d’environ 350 à 400 pages chacun. Il s’agit de l’histoire vécue d’un hétérosexuel, pris dans un traquenard homosexuel qui lui vaut un procès. Victime de dénonciation calomnieuse de la part d’un agresseur et harceleur homosexuel, il a été arrêté arbitrairement par un policier homosexuel, sans aucune preuve. Et il se débat dans un système où il découvre au fur et à mesure la force de frappe (politique et institutionnelle) du lobby homosexuel…
 
Au moment même où ma machine à inspiration me dictait de consacrer un petit article à ce sujet d’actualité, je croise la vidéo d’un débat télévisé en France où un animateur homosexuel s’en prend violemment à son collègue de travail en le traitant de connard et d’homophobe, pour la simple raison que ce dernier soutenait la liberté de conscience et de religion du footballeur africain et musulman, jeté en pâtures par le lobby homosexuel.
 
TA LIBERTÉ S’ARRÊTE LÀ OÙ COMMENCE CELLE DES AUTRES
 
L’homosexualité existe dans toutes les sociétés, à la seule différence qu’on veut en faire la règle dans certains pays occidentaux. En ce sens qu’on veut nous donner l’impression que ce sont les homosexuels qui sont toujours les victimes des hétérosexuels, et non l’inverse par moments.
 
Pourtant, les violences exercées par certains homosexuels sur des hétérosexuels sont comparables aux violences infligées aux femmes par certains hommes. Personne ne parle jamais du harcèlement ou des agressions homosexuels sur des hétérosexuels, comme si cela relève du tabou. Quand un homosexuel racole dans un lieu public une personne, qu’il ne connaît pas et dont il ignore l’orientation sexuelle, on met cela au compte de la liberté. Pourtant, c’est de la violence. Être libre d’être homosexuel ne signifie pas qu’on doit l’imposer à ceux qui ne le sont pas. Et ce n’est pas de l’homophobie quand un hétérosexuel refuse les avances d’un homosexuel. C’est son droit aussi.
 
Et un hétérosexuel a parfaitement le droit de ne pas soutenir la promotion de l’homosexualité, pourvu qu’il ne s’en prenne pas aux homosexuels, du fait de leur orientation sexuelle.
L’autre aspect qu’on a tendance à ignorer est le fait que tous les homosexuels n’ont pas la même tendance. Il y a de l’homophobie même au sein de la communauté LGBTQ. J’ai lu un article dans URBANIA dans lequel un homosexuel, se définissant comme un « homoromantique » (homosexuel romantique), exprime sa répulsion pour les pratiques comme la sodomie et dénonce l’agressivité de certains homosexuels qui ont abusé sexuellement de lui.
 
C’est une question très délicate. Le moins qu’on puisse dire est que chacun laisse l’autre respirer. Homosexuel ou hétérosexuel, chacun a le droit de vivre selon ses convictions et ses orientations, dans le respect de l'autre, sans se faire écœurer par un lobby quelconque.
Quand le monologue occidental veut aussi s’immiscer dans le lit des individus, cela devient très problématique…
 
MF Kantéka