samedi 28 mai 2022

J’ACCUSE LA POLICE DE MONTREAL…

 

 

S’il m'arrive quoi que ce soit de louche, je demande qu’on diligente une enquête sur la police de Montréal.

 

Depuis le mois de mars 2021, je suis impliqué dans une affaire abracadabrante, impliquant également trois policiers de Montréal, suite à la dénonciation calomnieuse d’un agresseur et harceleur homosexuel qui, pour prendre les devants, a jugé bon d’appeler la police, jouant sur la blancheur de sa peau et le racisme systémique qui prévaut dans cette ville. Et c’est un policier homosexuel qui a procédé à mon arrestation arbitraire, se livrant à une fouille corporelle sur moi, sachant très bien que je n’avais rien sur moi, puisqu'il était venu me trouver en train de jouer au ping pong, mes affaires étant posées sur le banc à côté. Et dans le rapport de police, le policier s'est déchargé sur sa collègue, lui attribuant mon arrestation, comme s'il avait quelque chose à se reprocher.

 

J’ai deux actions contre les policiers en cause: une devant la commission des droits de la personne et une devant la déontologie policière. A l’heure où je rédige cet article, je viens de chez l'informaticien, parce que la police de Montréal tente de paralyser tous mes ordinateurs. Il suffit que je me connecte sur internet avec un appareil pour qu’on le neutralise, en soustrayant le curseur de mon contrôle. En l’espace d une semaine, ce sont trois ordinateurs qui en ont fait les frais. Celui que j utilise en ce moment pour écrire cet article est un très vieil ordinateur, avec un clavier anglais, qui n’a probablement jamais été connecté sur internet et qui ne le sera jamais, puisque c’est ma carte cachée, pour faire comprendre à la police de Montréal qu’elle ne peut pas me museler.

 

Je rappelle que bien avant cette affaire, la police de Montréal avait tenté de paralyser mon compte Facebook, comme je le rappelle dans l'article dénonçant leur arrestation arbitraire. Et depuis, ils s'attaquent à tous mes comptes et aussi a mon téléphone.

 

Au delà de cette affaire, la police de Montréal sait que je la soupçonne d’autres choses plus graves, que je pourrais écrire d’un moment à l’autre, puisqu’elle écoute mes conversations téléphoniques.

 

Cet article n'a d’autre but que de chercher à protéger ma vie. Si je suis victime d’une agression ou d'un attentat, c’est auprès de la police de Montréal qu’il faut chercher.

Qu’on n'aille surtout pas parler de gang de rue, car je ne côtoie ni de près ni de loin ce milieu. Mon milieu est celui du sport et de l’écriture.

 

PS: J’ai dû faire des acrobaties pour écrire ce texte avec un clavier anglais, dans un premier temps. Je l’ai après corrigé entièrement.

 

MF Kantéka