mercredi 14 septembre 2022

Quand le Canada recourt à des représailles contre moi


Pour la troisième fois, Immigration Canada vient de me retourner le dossier de renouvellement de ma carte de résident permanent pour des motifs fallacieux et incohérents. S’il y avait un doute sur la question, cette dernière bavure vient me conforter dans l’idée qu’il s’agit d’une décision éminemment politique. Et de surcroit un acte manifestement illégal, visant à me punir pour mes prises de position contre la politique criminelle que le Canada mène dans mon pays, aux côtés d’autres pays de l’OTAN, consistant à y alimenter des troubles et à y organiser des massacres interethniques, comme j’ai eu déjà à le dénoncer dans des articles antérieurs.

 

On avait commencé d’abord par perturber ma connexion internet chaque fois que j’écrivais un article pour dénoncer leurs forfaits dans mon pays, comme j’ai eu à l’écrire. Puis, il y a eu une interférence avec le conflit qui m’oppose à la police de Montréal et pour lequel j’ai intenté un recours devant la Commission des droits de la personne qu’on essaie de parasiter…

 

Pour faire court, ce troisième et dernier renvoi de mon dossier est un faux pas que le Canada mettra du temps à regretter, puisque je l’avais monté avec une avocate du cabinet d’un député fédéral…

 

Ce qui est clair et que je veux qu’ils comprennent est que je n’ai besoin ni de la nationalité canadienne ni de la carte de résident permanent du Canada ni d’aucun autre pays d’ailleurs. Ma valeur intrinsèque me met au dessus de ce besoin…

 

Ce qui m’indispose le plus, c’est la filature permanente qu’on organise autour de moi, chaque fois que je mets les pieds dehors. J’ai pris le numéro d’immatriculation du dernier agent qui me filait vendredi dernier à côté du métro Sherbrooke et je l’ai montré à l’hôte que j’étais  allé voir. Pourquoi cette surveillance constante ? Ce que je peux dire aux autorités canadiennes est qu’elles perdent leur temps avec moi. L’intimidation pas plus que la persécution ne fonctionnent avec moi. Je sais pourquoi je suis dans ce monde et où je me dirige. Le moment venu, on saura tout sur l’étendue de vos pratiques criminelles et les complices nationaux que vous employez, même ici au Canada pour traduire les conversations téléphoniques des personnes que vous mettez sur écoute. Les juges canadiens eux-mêmes sont au courant de vos actes illégaux. Il y a longtemps de cela, c’est une juge québécoise qui m’en avait fait part, en précisant qu’elle-même est sur écoute et qu’on fait suivre les gens jusque dans les discothèques pour enregistrer leurs conversations avec des appareils sophistiqués.

 

S’il m’arrive quoi que ce soit, je l’ai déjà écrit, le premier ministre du Canada, Justin Trudeau et celui du Québec, François Legault, seront tenus personnellement responsables par mes représentants légaux…

 

MF Kantéka