Dans ’’ LES FRANCS-MAÇONS DE LA CONTREFAÇON’’, un article mis en ligne sur le site montraykreyol.org, j’attirais l’attention sur le lien étroit qui existait entre l’IMPUNITÉ entourant les CONTREFACTEURS et leur implication dans les SECTES MAÇONNIQUES. Nous en avons la CONFIRMATION avec les attitudes des DEUX JUGES D’INSTRUCTION FRANÇAIS qui multiplient les acrobaties juridiques pour ÉTOUFFER UN SCANDALE INÉTOUFFABLE.
Non contents de VIOLER LA LOI de toutes les façons imaginables et inimaginables, en s’abritant derrière un CHARABIA QUI N’A DE SENS NI DANS LE COMMUN, NI EN DROIT, ces très honorables MAGISTRATS s’offrent même le luxe de GLISSER DES MENACES ÉSOTÉRIQUES DANS LEUR CORRESPONDANCE. Une autre forme de TERRORISME jurant avec le DISCOURS CIVILISÉ ET CIVILISATEUR dont nous abreuvent les NOMBRILISTES ET OUTRECUIDANTS MENTEURS DES « DÉMOCRATIES » OCCIDENTALES.
DÉMOCRATIE OU DÉMON- CRATIE ? J’interroge encore…
TRÈS CHERS LECTEURS ET LECTRICES DU MONDE ENTIER, qui suivez cette affaire de près, je mets encore à votre disposition les détails de cette sordide affaire que vous trouverez dans cet échange de correspondances avec ces TORTIONNAIRES DE LA LOI:
3E LETTRE DE PRÉCISION AU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS
Montréal, samedi 19 janvier 2008
Plaignant :
Mountaga Fané Kantéka
Montréal, Canada, H1Y 2Z8
N/REF : Dossier no 07/1080
No du Parquet : P. 07. 355. 2303 / 8
À madame Nathalie DUTARTRE
Vice-Doyen des Juges d’instruction
du Tribunal de Grande Instance de Paris
4, Boulevard du Palais 75055 Paris RP
Objet :
- Réponse à votre lettre du 14 janvier 2008 persistant dans l’obstruction à la justice, la provocation, la violation de la loi, assorties de menaces ésotériques
- Récusation de votre autorité : demande expresse de vous dessaisir de mon dossier et de le transmettre directement au Procureur de la République
Madame Nathalie Dutartre,
Suite à mon courrier du 5 janvier relatif à votre tentative de DÉNATURATION de ma plainte avec constitution civile, vous persistez dans votre MÉPRIS DE LA LOI ET DE MA PERSONNE, en m’envoyant une autre LETTRE ANONYME (signé du seul titre de Vice-Doyen) datée du 14 janvier 2008, reprenant les mêmes bavures que votre supérieur hiérarchique.
Dans un JARGON SANS QUEUE NI TÊTE, dépourvu de tout sens, tant dans le langage commun que juridique, vous poussez plus loin la MALVEILLANCE et l’INTIMIDATION, en me demandant de surcroît de vous envoyer des éléments dont je suis dispensé par l’alinéa 2 de l’art 85 du Code de procédure pénale « au plus tard le 22 janvier 2008 ». Sans compter que je n’ai nullement besoin de vous envoyer quoi que ce soit, vous savez très bien qu’à la date de réception de votre courrier (vendredi 18 janvier), il est impossible de vous les envoyer « au plus tard le 22 janvier 2008 ». À L’ÉVIDENCE, VOUS AVEZ ATTEINT VOS LIMITES DANS LA SPÉCULATION.
Sans m’appesantir sur ces détails superflus, JE VOUS RÉPÈTE POUR LA TOUTE DERNIÈRE FOIS QUE MA PLAINTE AVEC CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE, ASSORTIE DE DOUZE CHEFS D’ACCUSATION DONT DES CRIMES, EST BEL ET BIEN VALABLE AU SENS DE L’ALINÉA 2 DE L’ART 85 DU CODE DE PROCÉDURE PÉNALE.
En continuant à l’ignorer, MADAME DUTARTRE, VOUS VIOLEZ PLUSIEURS FOIS LA LOI :
- VOUS VIOLEZ L’ART 85 DU CODE DE PROCÉDURE PÉNALE dont l’alinéa 2 m’exempte de la fourniture de l’avis de classement de ma plainte par le Parquet et du récépissé précédant d’au moins 3 mois la plainte avec constitution de partie civile :
- VOUS VIOLEZ L’ARTICLE 6 DE LA CONVENTION EUROPÉENNE de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales qui garantit à tous le droit d’accès à un tribunal, à une juridiction impartiale et à un procès équitable.
VOUS VIOLEZ, madame DUTARTRE, PLUSIEURS AUTRES TEXTES DE LOI, avec malice et frivolité, et tombez sous le coup de plusieurs accusations dont le DÉNI DE JUSTICE PRÉVU PAR L’ARTICLE 4 DU CODE CIVIL.
Vous pourriez aussi être poursuivie pour FAUX EN ÉCRITURE pour ALTÉRATION DE LA VÉRITÉ MANIFESTÉE DANS MA PLAINTE, EN L’AMPUTANT DE ONZE CHEFS D’ACCUSATION, PAR DES ARTIFICES JURIDIQUES ET DES MANŒUVRES DILATOIRES ET DOLOSIVES.
Vous encourez aussi des sanctions pénales pour SUBORNATION prévues par L’ARTICLE 434-15 DU CODE PÉNAL qui stipule :
« LE FAIT D’USER DE promesses, offres, présents, PRESSIONS, MENACES, voies de fait, MANŒUVRES OU ARTIFICES AU COURS D’UNE PROCÉDURE OU EN VUE D’UNE DEMANDE ou défense EN JUSTICE AFIN DE DÉTERMINER AUTRUI soit à faire ou délivrer une déposition, une déclaration ou une attestation mensongère, soit À S’ABSTENIR DE FAIRE OU DÉLIVRER UNE DÉPOSITION, une déclaration ou une attestation, est PUNI DE 3 ANS D’EMPRISONNEMENT ET DE 300 000 F D’AMENDE, MÊME SI LA SUBORNATION N’EST PAS SUIVIE D’EFFET. »
Vous pourriez aussi être poursuivie pour ESCROQUERIE, définie ainsi par 313-1 du CODE PÉNAL : « L’escroquerie est le fait, soit par l’usage d’un faux nom ou d’une fausse qualité, soit par L’ABUS D’UNE QUALITÉ VRAIE, SOIT PAR L’EMPLOI DE MANŒUVRES FRAUDULEUSES, de TROMPER UNE PERSONNE physique ou morale ET DE LA DÉTERMINER AINSI, À SON PRÉJUDICE ou au préjudice d’un tiers, à remettre des fonds, des valeurs ou un bien quelconque, à fournir un service ou À CONSENTIR UN ACTE OPÉRANT obligation ou DÉCHARGE.
L’escroquerie est punie de CINQ ANS D’EMPRISONNEMENT ET DE 2 500 000 F D’AMENDE. » Et dans votre cas, en votre qualité de DÉPOSITAIRE DE L’AUTORITÉ PUBLIQUE ET CHARGÉ D’UNE MISSION DE SERVICE PUBLIC, cette peine est AGGRAVÉE par L’ART 313-2, 1e, qui porte la PEINE DE PRISON à SEPT ANS, et L’AMENDE à 5 000 000 F.
MENACES ÉSOTÉRIQUES INCORPORÉES DANS UN DOCUMENT PUBLIC :
Je m’étais jusqu’à présent abstenu d’insister sur ce détail. À ce jour, j’ai reçu de votre Tribunal TROIS LETTRES AVEC TROIS SIGNATURES DIFFÉRENTES :
- LA PREMIÈRE LETTRE, datée du 6 décembre 2007, ANONYME et portant la mention « DOYEN DES JUGES D’INSTRUCTION », m’est parvenue avec une SIGNATURE en forme de VAGUE s’étirant en DENTS DE SCIE et venant ÉGORGER L’EMBLÈME DE LA DAME TENANT LE SCEPTRE, figurant sur le SCEAU DE LA JUSTICE, qui a été RENVERSÉE, tête en bas, pieds en l’air. Un MESSAGE CABALISTIQUE destiné à m’avertir que la justice a été renversée et décapitée par les ADEPTES D’UNE SECTE contre un justiciable. Ceci expliquant la MONSTRUEUSE TENTATIVE D’OBSTRUCTION de votre supérieur hiérarchique, consistant à REJETER EN BLOC MA PLAINTE.
- Après ma réaction publique, une DEUXIÈME LETTRE, datée du 28 décembre 2007, portant VOTRE NOM, et signée par votre greffier, RÉTABLIT LE SCEAU DE LA JUSTICE À L’ENDROIT, en épargnant la gorge de la dame emblématique, et m’informe que MA PLAINTE A ÉTÉ ACCEPTÉE ET ENRÉGISTRÉE. Mais amputée de onze chefs d’accusation.
- Après une autre réaction publique de ma part, voilà qu’une TROISIÈME LETTRE, datée du 14 janvier 2008, ANONYME et portant mention de votre titre de VICE-DOYEN, me parvint avec L’EMBLÈME DE LA DAME RENVERSÉE SUR LE CÔTÉ GAUCHE AVEC LE CRÂNE ET LES ÉPAULES FENDUS PAR UNE SIGNATURE commençant par D (comme dans votre patronyme DUTARTRE) et s’étirant en FORME DE SCIE, renouant avec les ARGUMENTS FALLACIEUX de votre supérieur hiérarchique et persistant dans la VIOLATION DE L’ALINÉNA 2 DE L’ART 85 DU CODE DE PROCÉDURE PÉNALE.
Ces MÉTHODES CABALISTIQUES nous sont connues. J’ai déjà écrit un article sur ce sujet (LES FRANCS-MAÇONS DE LA CONTREFAÇON) que vous avez dû consulter sur internet. VOUS NE M’IMPRESSIONNEZ PAS AVEC CES MENACES MAÇONNIQUES. La Franc-maçonnerie n’a pas commencé avec vous. TOUT COMME LA JUSTICE, ELLE A ÉTÉ DÉTOURNÉE DE SON BUT INITIAL : la LUTTE CONTRE LES INJUSTICES. L’USURE, LA CORRUPTION ET LA SOIF DU POUVOIR EN ONT FAIT AU CONTRAIRE UN INSTRUMENT D’OPPRESION ET DE PAUPÉRISATION DES MASSES VULNÉRABLES.
EN M’ADRESSANT À LA JUSTICE FRANÇAISE, JE NE VEUX PAS M’ADRESSER À UNE SECTE D’INTRIGUANTS. JE NE VEUX DONC PLUS JAMAIS RECEVOIR DANS UN COURRIER PROVENANT DE L’INSTITUTION JUDICIAIRE FRANÇAISE UNE QUELCONQUE MENACE ÉSOTÉRIQUE…
RÉCUSATION
Pour toutes ces raisons susmentionnées, MADAME DUTARTRE, je vous DEMANDE EXPRESSÉMENT DE VOUS RÉCUSER POUR VIOLATIONS GRAVES ET ITÉRATIVES DE LA LOI, PRESSIONS ET MENACES INTEMPESTIVES SUR MA PERSONNE.
Je vous DEMANDE DE VOUS DESSAISIR DE MON DOSSIER et de le TRANSMETTRE AU PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE. VOTRE TÂCHE EST D’INSTRUIRE L’AFFAIRE. ET, PUISQUE, TRÈS VISIBLEMENT, VOUS N’AVEZ AUCUNE INTENTION DE LE FAIRE, SACHANT QUE LES ÉLÉMENTS DE PREUVE SONT PARTICULIÈREMENT ACCABLANTS CONTRE CEUX QUE VOUS CHERCHEZ À PROTÉGER À TOUT PRIX, IL N’Y A PLUS DE RAISON QUE J’AI À FAIRE AVEC VOUS.
Vous ne pouvez plus être une interlocutrice valable à mes yeux, ni aux yeux de la loi. Et comme, de toutes façons, votre TRAVAIL D’INSTRUCTION a été déjà fait par mes soins (avec mes enquêtes approfondies), le problème ne se pose plus. Transmettez-donc mon dossier au PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE pour qu’il le transmette à son tour à la COUR D’ASSISES. Les gens que vous cherchez à protéger ont assez de moyens pour s’offrir des avocats pour les défendre. QU’ILS PRENNENT TOUT LE BARREAU DE PARIS, S’ILS LE VEULENT. CELA NE M’EMPÊCHERA PAS DE LES DÉFAIRE PUBLIQUEMENT, PREUVES À L’APPUI… Je leur avais offert des solutions de règlements amiables, en leur envoyant une MISE EN DEMEURE, en avril 2007. Monsieur SALOMON MEZEPO (DE MENAIBUC) A TENTÉ MALADROITEMENT DE M’ACHETER, en passant outre les exigences de mon injonction. LE SEUIL, quant à lui, a cru bon de garder un SILENCE LÂCHE et ARROGANT face à ma sommation, pensant à tort pouvoir me bloquer l’accès à la justice.
Cette lettre vous sera acheminée par courrier régulier, dans les mêmes conditions que vous m’acheminez les vôtres. Je n’ai aucune obligation de me ruiner avec des frais de recommandé avec accusé de réception. La seule obligation de recommandé avec accusé de réception résidait au niveau de ma plainte. Et je l’ai satisfaite. Pour preuve de l’envoi de ce courrier, il sera mis sur mon site (http://www.kanteka.blogspot.com/ ) que vous avez déjà consulté à plusieurs reprises. La date et l’heure de l’envoi y seront précisées. S’il vous venait l’idée de prétendre que vous ne l’avez pas reçue, une enquête sera ouverte ici au niveau de Montréal. Nous avons déjà des antécédents de ce genre d’incidents avec des maisons d’éditions de Paris. Ce serait une preuve supplémentaire de votre mauvaise foi.
MOUNTAGA FANÉ KANTÉKA
JURISTE, ÉCRIVAIN ET JOURNALISTE D’INVESTIGATION
Comme mentionné ci-haut, cette lettre a été postée le lundi 21 janvier 2008, à 11 : 35 : 57, à Montréal, en courrier régulier. L’agent de la poste a été avisé sur les risques dénégation pouvant en découler.