dimanche 23 août 2009

FRAUDE DE GRANDE ENVERGURE AU NIVEAU DE LOTO-QUÉBEC


On m’avait déjà parlé de différents aspects du système maffieux prévalant ici au Québec dans les multiples secteurs d’activité de la vie courante. Et tous ces petits crimes quotidiens commis à longueur de journée par des employés de services publics ou communautaires sur ceux qui ne peuvent pas se défendre. Des crimes étouffés en vertu d’un déplorable et tacite PACTE DU SILENCE . On m’avait aussi parlé des problèmes de DÉPENDANCE et de SUICIDE liés au JEU au Québec, donnant parfois lieu à des initiatives privées de poursuite judiciaire contre cette INFERNALE MACHINE.
Ce que je ne savais pas encore, ce dont on ne m’avait jamais encore parlé, est qu’il existait aussi ici, au Québec, une PRATIQUE consistant à « programmer » les machines de jeu, pour éviter la « ruine » de l’INDUSTRIE DU JEU. Oui, le TRUCAGE des machines pour fausser les gains! INCROYABLE MAIS VRAI!

J’ignorais que ce constat selon lequel « LE HASARD N’EXISTE PAS » s’appliquait aussi à ce qu’on a coutume d’appeler les « JEUX DU HASARD ». Et j’allais, comme par « hasard », être le TÉMOIN oculaire de cette TROUBLANTE RÉALITÉ, le vendredi 21 août 2009, aux environs de 14 h, à l’entrée du Stade Olympique de Montréal pour le tirage de la ROUE DE LA FORTUNE…
J’y étais, avec d’autres congénères, à l’invitation d’une amie qui avait tiré le numéro gagnant. Et, selon le CONTRAT DE JEU, les prix à gagner varient de 15.000 à 250.000 dollars. La CHANCE étant le SEUL CRITÈRE. Avec la possibilité de rejouer et de cumuler les gains si jamais la boule s’arrête sur la somme de 10.000. Ça, c’est la PRÉSENTATION IDYLLIQUE ET OFFICIELLE DE LA SITUATION!
Cependant, la scène dont je fus témoin, le vendredi dernier, allait m’enlever mes dernières illusions sur la notion de « chance » dans ce « jeu de hasard »!

LE CÉRÉMONIAL CONSISTANT À TRUQUER LA ROUE

Avant que notre amie gagnante ne vienne tourner la roue pour être fixée sur sa future fortune, qu’on voyait grosse (compte tenu de la bonne étoile qui l’accompagne), il y eut tout d’abord un cérémonial effectué par les employés de Loto-Québec pour soi-disant « TESTER » la roue. Et c’est là que vint l’inattendu et l’inimaginable PROBLÈME! Venu un tout petit peu en retard, je tombai juste au moment où un employé de Loto-Québec « TESTAIT » la machine, en la tournant légèrement. En prenant bien le soin de dire aux spectateurs : « Ne touchez pas à la roue! Personne ne doit y toucher! ».
Sans le faire exprès, je remarquai tout de suite qu’à chaque « TEST », la boule venait se poser sur le chiffre 15.000 (le minimum à gagner). À au moins QUATRE REPRISES! Comme si le but du « test » avait un rapport direct avec ce chiffre 15.000. Comme si le « test » visait surtout à vérifier si la boule allait au moment décisif tomber sur les 15.000. Ce constat ne s’est imposé à moi qu’après-coup, comme vous allez le constater!

SIMPLE HASARD OU PROGRAMMATION?

Après les 4 « tests », vint le grand moment tant attendu : le tour de la gagnante d’y aller de sa chance sous les applaudissements des spectateurs (une mise en scène organisée par l’équipe technique pour la camera). Et pendant qu’on incitait les autres à applaudir et à noyer leur vigilance dans un grégaire et hystérique cri d’allégresse anticipée: « On veut 250.000! On veut 250.000! 250.000! », je demeurai, bras croisés, silencieux et focalisé sur la roue en train de tourner, histoire d’y voir un peu plus clair. Et quand la machine se mit à ralentir, je vis la boule hésiter entre le chiffre 50.000 et … 15.000. Le Temps semblait carrément suspendu en l’espace de cette tergiversation de la machine entre les chiffres 50.000 et 15.000 dollars.
L’instant n’a duré que quelques secondes, mais c’était suffisant pour voir qu’il y avait comme une sorte de VIBRATION MAGNÉTIQUE qui « accrochait » la boule à la case du magique chiffre de 15.000 (le minimum à gagner) pour l’empêcher de se poser sur les 50.000…

Tout de suite me vinrent à l’esprit ces questions : peut-on encore parler de « hasard » quand la boule d’une même machine, en l’espace de moins de 5 minutes, se pose sur le même chiffre (15.000) à 5 REPRISES? Quelle est la PART DE PROBABILITÉ pour que la boule d’une même machine, en l’espace de moins de 5 minutes, vienne se poser sur le même chiffre à 5 REPRISES? C’est à dire les 4 TESTS (effectués par l’employé de Loto-Québec) ajoutés au tournage effectué par la gagnante!
Il y avait pourtant beaucoup d’autres chiffres. Cependant la boule n’a choisi ni 20.000, ni 25.000, ni 50.000, ni 75.000, ni 100.000, ni surtout 250.000. Pas même 10.000 (parce que cela équivaudrait à rejouer et à cumuler les gains). Mais 15.000! Le minimum! Les mêmes 15.000 sortis 4 fois auparavant pendant les fameux « tests ». AH!

DRÔLE DE « MIRACLE »

Avouez que c’est un « MIRACLE » qui n’arrive pas souvent dans la vraie vie! Et comme pour faire passer la pilule, l’animatrice s’adressa ainsi à la « malheureuse » gagnante : « 15.000, ce n’est pas mal! Vous aviez dit que vous vouliez aller en vacances chez vous! Vous allez pouvoir retourner chez vous pour des vacances, plus tôt que prévu! » (sic) S’agit-il d’un JEU IMPRÉVISIBLE ou d’une ŒUVRE DE CHARITÉ destinée à combler des vœux de vacances? La ROUE DE LA FORTUNE est-elle vraiment un « JEU DE HASARD » ou y a-t-il un moyen de LIMITER LA PART DU HASARD et de prévoir ou fausser les gains faite, selon la TÊTE DU CLIENT et ses besoins déclarés? Et qui prend l’INITIATIVE d’une telle combine? Les employés de Loto-Québec ont-ils une PRIME au prorata des pertes? Perçoivent-ils plus de prime en fonction des PERTES réalisées par les JOUEURS dont le MANQUE À GAGNER leur profite? Ont-ils la garantie d’une impunité contre toute poursuite judiciaire pour fraude et escroquerie? Et quel est le rôle de la FIRME DE SUPERVISION dans tout cela?
Autant de questions qui mériteraient des réponses, en cas d’enquête sur cette étonnante affaire. Et parce qu’il y a effectivement lieu à ENQUÊTE…

CONFRONTATION ET FLOTTEMENT

Après le tournage, je ne pus m’empêcher de faire part de mes constats à d’autres personnes sur place, en prenant le soin de m’exprimer dans une langue véhiculaire africaine. Ce qui attira tout de suite l’attention des employés de Loto-Québec, comme s’ils se doutaient de ce que je disais. Comme s’ils étaient aux aguets d’une réaction négative! Comme s’ils étaient frileux à l’idée de se faire démasquer! Je me tus un instant, puis repris mes remarques dans le même « patois ». Et encore une fois, l’attention des employés se braqua sur moi.
N’en pouvant plus, je pris sur moi d’aller DROIT AU BUT, en m’exprimant cette fois-ci en français et en m’adressant au plus proche employé : « Monsieur, il y a quelque chose qui ne va pas avec votre machine! ». Il me répondit tout de go : « Personne ne peut TRUQUER la machine! La machine est ainsi faite! Il y a un superviseur! », ayant lui-même l’air très peu convaincu de ce qu’il avançait…
Il y eut ensuite un petit instant de FLOTTEMENT et D’AGITATION au niveau des spectateurs qui semblaient avoir remarqué le problématique oscillement de la boule et son étonnant et terrible « ENTÊTEMENT MÉCANIQUE » à s’accrocher à la case de 15.000, comme guidée par une MAIN INVISIBLE. Un « entêtement mécanique » qui n’a point échappé à ceux qui n’avaient pas remarqué que c’était le même chiffre qui était déjà sorti 4 fois pendant les « tests ». Et en moins de 5 minutes! Puis la foule se dispersa...

L’HISTOIRE DE LA POUDRE ET D’AUTRES ÉLÉMENTS TROUBLANTS

C’est ainsi que sur le chemin du retour, j’eus droit à quelques « CONFIDENCES ». On me dit d’abord qu’avant que je ne vienne, les employés avaient pris le soin de verser de la POUDRE sur la roue afin que « la boule ne coince pas » pour « cause d’humidité ». Une adulte me dit après qu’elle avait remarqué comme s’il y avait de l’AIMANT derrière la machine. Un argument réitéré par un autre plus jeune…
POUDRE, AIMANT ou AUTRE TOUR DE MAGIE, on peut encore se demander si les employés de Loto-Québec ont le droit de mettre un quelconque produit sur la machine pour soi-disant faire « mieux glisser la boule ». On peut aussi se demander si ce produit a été mis sur toute la surface ou seulement sur les cases où se trouvent les grosses sommes afin qu’elles soient épargnées. Il faut aussi savoir pourquoi seul l’employé a le droit de « tester » la machine. Et pourquoi pas la cliente…
Autant de questions exigeant des réponses claires et non équivoques. Parce que cette histoire contient trop de zones d’ombre. Et le fait de « PRENDRE LA CHANCE » DE QUELQU’UN dans un jeu réputé « jeu de hasard », relève d’un acte dont la JUSTE QUALIFICATION m’échappe encore. Au delà des aspects juridiques (très complexes), je ne crois pas qu’un législateur se soit déjà penché sur cette question du point de vue PSYCHO-MÉTAPHYSIQUE. Parce que « prendre la chance » de quelqu’un, c’est non seulement le détruire psychologiquement, mais c’est aussi SE SUBSTITUER À DIEU ET AU DESTIN, en voulant contrôler même la manne qui tombe du ciel.

Je ne crois pas qu’il puisse avoir un VIOL plus destructeur que cela. Je ne crois pas non plus qu’un homme ou une compagnie puisse prétendre à un tel privilège. Même si je sais que dans certains MILIEUX LUCIFÉRIENS (notamment au niveau des CONTREFACTEURS FRANCS-MAÇONS), la MÉGALOMANIE et la CUPIDITÉ poussent certains illuminés à se croire nantis d’un tel pouvoir, poussant les plus DÉSÉQUILIBRÉS (du milieu de l’édition) à vouloir SE REVÊTIR DE LA PEAU DE LEURS VICTIMES, avec les mêmes manipulations ou inversions de chiffres et de mots.
Ils doivent pourtant comprendre que MÊME LE DIABLE A SES LIMITES!

DEMANDE D’ENQUÊTE ET DE TRANSPARENCE

Au vu de toutes ces données, les journalistes des grands médias québécois doivent se sentir interpellés par cet épineux problème de société. Si certains d’entre eux ont eu déjà vent de faits similaires, qu’ils les recoupent avec ce qui vient d’être détaillé ici et dont j’ai été en partie témoin et qui ressemble à s’y méprendre à une inqualifiable ESCROQUERIE DE GRANDE ENVERGURE. Que ces journalistes, par profession et pas toujours par vocation, fassent, pour une fois, leur travail (et, j’en suis sûr, ils ne manqueront pas de témoignages de milliers de joueurs ayant déjà eu maille à partir avec cette machine). Vont-ils s’atteler à cette mission, au lieu de se borner à PIQUER DES ARTICLES sur les BLOGS des journalistes indépendants et de les RÉCHAUFFER en les mettant à la UNE, pour faire vendre leurs insipides FEUILLES DE CHOUX?
Les personnes de bonne foi doivent aussi se sentir concernées par cette gangrène qui menace un peu tout le monde. Que celles qui le peuvent, saisissent les AUTORITÉS COMPÉTENTES pour se pencher sur la question. Et que cela se fasse dans la TRANSPARENCE la plus absolue! Tous les indices énumérés ne peuvent relever d’un simple « hasard ». Tout le monde sait comment les choses se passent ici au Québec. La question est de savoir QUI EST ENCORE DERRIÈRE TOUT CELA. Est-ce le MÊME MONSTRE qui provoque les « CRISES » et affame les peuples? Qui les représentent ici au Québec?

SIMPLE QUESTION D’ÉTHIQUE OU CANCER SOCIAL GÉNÉRALISÉ?

« Quand la tête va mal, tout le reste va mal », dit à raison l’adage. Et personne ne peut prétendre aujourd’hui au Québec qu’il est sourd ou insensible aux scandales qui éclatent fréquemment au niveau des institutions et organismes québécois, que ce soit à propos des escroqueries financières, des surfacturations, des acquisitions frauduleuses de terrains à vil prix, des dons douteux ou attributions frauduleuses de marchés, de subventions ou autres privilèges, le tout sur le dos des consommateurs sans cesse pressurés, étouffés par les HAUSSES FRÉQUENTES DE TARIFS au niveau d’HYDRO-QUÉBEC, de la STM, (Société de Transport de Montréal) qu’on essaie de justifier avec des théories alambiquées imposées à un public passif. Des PRATIQUES dignes de RÉPUBLIQUE BANANIÈRE.
À en croire que le BATEAU QUÉBEC navigue sur un FLEUVE DE VICES ET DE CORRUPTION, infesté de CROCODILES à la gueule puante!

Des scandales qui éclatent puis s’éteignent, comme des feux follets, sans qu’on trouve le ou les coupables. Et quand on trouve des coupables, la facilité déconcertante avec laquelle ils s’en tirent. Une facilité découlant de déconcertantes LACUNES LÉGISLATIVES, évoquant le vide crépusculaire des villages lacustres ou des lagunes d’un arrière-pays. Comme si tout était organisé dans ce PETIT BLED du Nouveau Monde pour écraser les plus petits et épargner les grands, les Grands Voyous en costume-cravate-verres correcteurs. Des myopes à l’appétit féroce et à la bouche pleine de mensonges.
Sans compter tous ces petits autres scandales étouffés à cause du refus des « JOURNALISTES-VEDETTES » de les traiter, parce qu’ils NE SONT PAS LIBRES de traiter ce qu’ils doivent traiter et ce pourquoi ils touchent de CONFORTABLES SALAIRES, avec pour mission d’informer le public. Ce qu’ils ne font qu’à moitié, si ce n’est pour servir de bras vengeurs à des règlements de compte ourdis par leurs commanditaires. Comme si les scandales médiatisés ne sont que de la poudre aux yeux (comme la poudre utilisée par Loto-Québec pour « faire mieux glisser la boule »), destinée à destituer des requins et à les remplacer par d’autres requins…

Fléau plus violent que tous les ouragans dévastateurs mis ensemble et baromètre d’un patent SOUS-DÉVELOPPEMENT MORAL ET MENTAL non assumé, cette désespérante CARENCE JOURNALISTIQUE sert souvent de couverture aux crimes les plus crapuleux auxquels le traitement médiatique cherche à donner une APPARENCE DE LÉGITIMITÉ, voire de légalité. La notion même de journalisme reste à redéfinir ici, tant les écarts de cette « nouvelle élite » sont préoccupants. Une PARESSE INTELLECTUELLE assimilable à la léthargie provoquée par la prise de l’OPIUM.

Il se passe tellement de choses au Québec, en particulier à Montréal, qu’un JOURNAL, digne de ce nom, ne devrait jamais être à cours de sujets à traiter, à fortiori se rabaisser à faire du PLAGIAT en piquant continuellement dans les BLOGS des JOURNALISTES INDÉPENDANTS pour en faire du RECHAUFFÉ mis à la UNE! Et ceci pour faire de l’ÉCONOMIE SUR LES SALAIRES qu’on devrait normalement verser à ses journalistes indépendants, utilisés à leur insu comme des NÈGRES (en s’emparant de leurs écrits sans les citer ou les payer). Et dans certains cas, c’est pour en faire carrément des LIVRES (je pense notamment à ’’NOIR CANADA’’, publié aux éditions ÉCOSOCIÉTÉ, avec la complicité du journal LE DEVOIR).

Ces « respectables » Quotidiens montréalais (LE DEVOIR et LA PRESSE, notamment) se sont à ce point DISCRÉDITÉS qu’on ne peut plus compter sur eux que pour des révélations de SECRETS DE POLICHINELLE! Peut-on d’ailleurs être un JOURNAL LIBRE, INFORMATEUR et OBJECTIF quand on est abouché avec le milieu du CRIME ORGANISÉ, notamment le milieu de la CONTREFAÇON? Au vu et au su de tout le monde! Peut-on être un JOURNAL CRÉDIBLE en étant sous l’emprise des GROUPES FINANCIERS et en tirant le gros de ses revenus de la PUBLICITÉ et du PUBLI-REPORTAGE?

Ce CONSTAT DE MÉDIOCRITÉ vaut pour la POLICE DE MONTRÉAL dont on se demande quelle est la véritable mission, à part TRAQUER DU MÉTÈQUE à longueur de journée? Cette institution mériterait un ARTICLE SPÉCIAL pour ses pratiques de plus en plus dangereuses, couverte par une impunité tout aussi alarmante. Des PRATIQUES venant souvent de PETITS AGENTS SOUS-GRADÉS, consistant notamment en l’EXPLOITATION SEXUELLE DES MINEURES pour servir d’APPÂTS HUMAINS en vue d’une INCITATION AU CRIME. Une pratique répréhensible relevant du DÉTOURNEMENT DE POUVOIR (à des fins d’AVANCEMENT DE CARRIÈRE) qui se dédouble de PROFILAGE RACIAL.

C’est assez extraordinaire de voir jusqu’où le racisme, le carriérisme, l’incompétence, l’intolérance, la malhonnêteté, la cupidité et l’attardement mental, couverts et bénis par l’impunité, peuvent transformer un naïf bonhomme en véritable BÊTE DE PROIE! C’est tout aussi ahurissant de savoir comment les CRIMES les plus SORDIDES peuvent être commis « AU NOM DE LA LOI » et comment les CRIMINELS les plus EXÉCRABLES peuvent se tapir derrière la COUVERTURE DE L’UNIFORME. Des marginaux et des frustrés (et haineux) qui deviennent des « défenseurs » de la loi, à qui donne des armes pour régler de vieux comptes. Des comptes réels ou imaginaires. Ah! « Dieu fasse que notre ennemi ne devienne jamais notre juge », dit un proverbe manding.

Et ce marché de dupes est légitimité par des FACHOS TRAVESTIS en CHRONIQUEURS et / ou JOURNALISTES D’OPINIONS, tant dans les médias écrits qu’électroniques. Des individus FAIBLEMENT CONSTITUÉS, tant au niveau physique, intellectuel que moral, qui ne sont des références dans aucun domaine de la vie (pas même dans l’acte sexuel) et qu’on paie grassement pour faire de l’acrobatie intellectuelle et inoculer leurs multiples tares dans les esprits simples, sous le couvert de la liberté d’expression ou de la « démocratie ».
Mais de quelle liberté me parle-t-on? Liberté contre qui? Contre les plus exposés? De quelle « démocratie » me parle-t-on ici? « Démocratie » ou PLOUTOCRATIE? Ah, quel monde!
À ce RYTHME-LÀ, ce BLED n’est pas loin de S’EMBRASER!

MISE EN GARDE CONTRE LES TENTATIVES D’INTIMIDATION

Tout ce qui vient d’être écrit ici, JE SUIS PRÊT à le SOUTENIR devant UNE COUR, CIVILE OU CRIMINELLE. Je n’en démordrai pas une seule seconde. Et Dieu m’est témoin! Si entretemps, il m’arrivait quoi que ce soit, comme par « hasard » une « mort accidentelle », une descente policière à domicile sous quelque prétexte que ce soit (comme c’est déjà arrivé), ou quelque forme d’intimidation, d’agression ou de persécution que ce soit (venant de particuliers ou de fonctionnaires québécois), même si une simple épine venait à m’érafler « accidentellement », les COUPABLES (les COMMANDITAIRES) seront VITE IDENTIFIÉS. Et qu’ils sachent que cet article est lu par des milliers de personnes à travers le monde, pas seulement au Québec.
Nous savons fort bien COMMENT LE SYSTÈME FONCTIONNE ici, au Québec! Nous connaissons ses moyens de sévir, pour étouffer les actes crapuleux, venant souvent du HAUT— des POLITICIENS VÉREUX inféodés à des RÉSEAUX MAFFIEUX, tenant souvent la police en laisse. ÉLECTIONS en vue ou pas, le moment est propice aux déballages publics.

AFFAIRE À SUIVRE!

MOUNTAGA FANÉ KANTÉKA
JURISTE, ÉCRIVAIN-POÈTE ET JOURNALISTE D’INVESTIGATION